C'est ce qui pourrait se produire, selon plusieurs analystes; en effet, les membres de l'OPEP (Organisation des pays producteurs de pétrole), réunis cette semaine à Vienne, discuteront notamment de l'augmentation de la production d'or noir des pays non membres de l'Organisation, phénomène qui les inquiète particulièrement.
Les États-Unis, par exemple, ont produit 6,5 millions de barils en date de septembre 2012, son plus haut niveau en 15 ans. En multipliant sa production par 6, le Dakota du Nord produit maintenant autant de pétrole que la Qatar, ce qui n'est pas peu dire. Le Canada, pour sa part, a également augmenté sa cadence de production.
Cette augmentation de l'offre pourrait avoir un impact à la pompe, en faisant diminuer le prix du baril de brut à Londres, qui, selon les experts, pourrait perdre jusqu'à 35% de sa valeur.
Une réduction du prix de l'essence aurait de quoi en réjouir plus d'un, mais attendons toutefois avant de sabrer le champagne...
Source: Radio-Canada
Les États-Unis, par exemple, ont produit 6,5 millions de barils en date de septembre 2012, son plus haut niveau en 15 ans. En multipliant sa production par 6, le Dakota du Nord produit maintenant autant de pétrole que la Qatar, ce qui n'est pas peu dire. Le Canada, pour sa part, a également augmenté sa cadence de production.
Cette augmentation de l'offre pourrait avoir un impact à la pompe, en faisant diminuer le prix du baril de brut à Londres, qui, selon les experts, pourrait perdre jusqu'à 35% de sa valeur.
Une réduction du prix de l'essence aurait de quoi en réjouir plus d'un, mais attendons toutefois avant de sabrer le champagne...
Source: Radio-Canada