La cavalerie additionnelle de la Boss 302 provient d'une meilleure respiration du moteur, incluant une tubulure d'admission en composite inspirée du prototype de Daytona, des culasses ajourées ainsi que des cames au profil plus agressif et au calage variable. Un embrayage de gros calibre s'insère entre le moteur et la boîte manuelle à six rapports rapprochés.
On a beaucoup vanté le son d'échappement de la nouvelle Mustang. La Boss 302 ne fait pas exception avec quatre tuyaux de sortie – deux à l'arrière, un troisième à gauche et un quatrième à droite, juste devant les roues arrière.
Je me suis emparée d'un exemplaire orange vif avec ces fameuses bandes noires qui forment un «C» étiré sur les flancs et, en compagnie d'un autre journaliste, j'ai pris le chemin de la superbe côte de Monterey, où des falaises découpées surplombent les puissantes vagues du Pacifique tout en bas.
La voiture colle littéralement à la route dans les virages et, peu importe le rapport sélectionné, ce n'est pas la puissance qui manque pour dépasser de lentes Prius ou gravir une pente en courbe. Les sièges Recaro aux appuis massifs gardent le corps fermement en place même quand on s'attaque aux épingles les plus prononcées.
Et que dire du son? Fantastique! Le chant lascif des quatre tuyaux d'échappement remplit la cabine et grise les occupants. Ironiquement, la Boss 302 a surpris mon partenaire et moi par sa grande docilité dans la circulation dense. Elle se débrouille pas mal avec les rapports inférieurs et son embrayage, parfait pour le talon-pointe, ne se montre ni lourd ni résistant en conduite normale. Le volant garni de suède alcantara offre une bonne adhérence et la direction à laquelle il se voit relié procure beaucoup de feedback. Dommage, par contre, qu'il ne s'ajuste qu'en hauteur.
Nous avons ensuite ajouté du piquant à notre journée d'essai en troquant la Boss 302 régulière pour l'édition spéciale Laguna Seca, qui paraissait très menaçante avec sa robe noire aux accents rouge sang. Un énorme becquet plat se dresse fièrement sous le pare-chocs avant, à quelques pouces seulement du sol, tandis qu'un aileron de course orne le coffre. Une barre de renfort transversale se trouve à la place des sièges arrière et oubliez le système de navigation ou encore la radio satellite.
On a beaucoup vanté le son d'échappement de la nouvelle Mustang. La Boss 302 ne fait pas exception avec quatre tuyaux de sortie – deux à l'arrière, un troisième à gauche et un quatrième à droite, juste devant les roues arrière.
Je me suis emparée d'un exemplaire orange vif avec ces fameuses bandes noires qui forment un «C» étiré sur les flancs et, en compagnie d'un autre journaliste, j'ai pris le chemin de la superbe côte de Monterey, où des falaises découpées surplombent les puissantes vagues du Pacifique tout en bas.
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| Le volant garni de suède alcantara offre une bonne adhérence et la direction à laquelle il se voit relié procure beaucoup de feedback. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
La voiture colle littéralement à la route dans les virages et, peu importe le rapport sélectionné, ce n'est pas la puissance qui manque pour dépasser de lentes Prius ou gravir une pente en courbe. Les sièges Recaro aux appuis massifs gardent le corps fermement en place même quand on s'attaque aux épingles les plus prononcées.
Et que dire du son? Fantastique! Le chant lascif des quatre tuyaux d'échappement remplit la cabine et grise les occupants. Ironiquement, la Boss 302 a surpris mon partenaire et moi par sa grande docilité dans la circulation dense. Elle se débrouille pas mal avec les rapports inférieurs et son embrayage, parfait pour le talon-pointe, ne se montre ni lourd ni résistant en conduite normale. Le volant garni de suède alcantara offre une bonne adhérence et la direction à laquelle il se voit relié procure beaucoup de feedback. Dommage, par contre, qu'il ne s'ajuste qu'en hauteur.
Nous avons ensuite ajouté du piquant à notre journée d'essai en troquant la Boss 302 régulière pour l'édition spéciale Laguna Seca, qui paraissait très menaçante avec sa robe noire aux accents rouge sang. Un énorme becquet plat se dresse fièrement sous le pare-chocs avant, à quelques pouces seulement du sol, tandis qu'un aileron de course orne le coffre. Une barre de renfort transversale se trouve à la place des sièges arrière et oubliez le système de navigation ou encore la radio satellite.
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| Nous avons ensuite troqué la Boss 302 régulière pour l'édition spéciale Laguna Seca, qui paraissait très menaçante avec sa robe noire aux accents rouge sang. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |