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Toyota Avalon 2011 : premières impressions

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Charles Renny
Le summum du luxe chez Toyota
À défaut d’une refonte complète, la Toyota Avalon reçoit une cure de rajeunissement pour l’année-modèle 2011. Les parties avant et arrière ont été légèrement redessinées, tandis que les portes et la surface vitrée demeurent inchangées. Cela dit, le pare-brise jouit désormais d’un traitement acoustique qui aide à rendre l’habitacle plus silencieux.

À défaut d’une refonte complète, la Toyota Avalon reçoit une cure de rajeunissement pour l’année-modèle 2011. (Photo: Charles Renny/Auto123.com)

Autre changement important : l’Avalon 2011 se décline en une seule version, soit XLS. Tout est inclus. En fait, l’unique item qui peut faire grimper le prix s’avère un fini de peinture blanc perlé.

L’Avalon incorpore à présent des phares à halogène de type projecteur. Leur forme a été modifiée dans le but de mieux s’harmoniser avec les ailes avant remodelées et la nouvelle calandre inspirée des autres modèles récents de la gamme.

À l’arrière, les feux ont eux aussi été remaniés pour mieux s’agencer avec le design, bonifié par l’ajout d’une bande chromée en largeur, juste au-dessus de la plaque d’immatriculation. Notons que tous les blocs optiques reçoivent des tubes lumineux qui accentuent leur contour et donnent une allure distinctive à l’Avalon.

Suspension

Les ingénieurs de Toyota ont tenté d’apporter plusieurs changements aux réglages de la suspension mais, à chaque fois, celle-ci n’arrivait pas à livrer un meilleur roulement que l’originale. Ils ont donc décidé de conserver la même configuration que par les années antérieures, soit une suspension entièrement indépendante avec jambes MacPherson et barres stabilisatrices.

Après avoir roulé sur différentes surfaces dans différentes conditions, incluant un chantier routier et des chemins partiellement réparés, je peux vous assurer que Toyota a pris la bonne décision. L’Avalon absorbe efficacement la quasi-totalité des bosses et autres imperfections de la chaussée qu’elle rencontre. Celles qui parviennent jusqu’à l’habitacle sont joliment amorties par les sièges, ce qui préserve le confort des passagers en tout temps.

La qualité du roulement m’a presque paru digne des meilleures berlines européennes, mais avec encore plus de souplesse. Évidemment, les comparaisons avec la division de prestige de Toyota (Lexus) sont faciles à faire. Toutefois, j’ai été agréablement surpris par le degré de roulis de caisse en virage; oui, il y en a, mais jamais au point de perturber la quiétude des occupants. Merci aux sièges qui maintiennent le corps bien en place sans trop gêner les mouvements, ainsi qu’au calibrage progressif de la suspension qui atténue l’effet du roulis.

Les ingénieurs de Toyota ont tenté d’apporter plusieurs changements aux réglages de la suspension mais, à chaque fois, celle-ci n’arrivait pas à livrer un meilleur roulement que l’originale. (Photo: Charles Renny/Auto123.com)
Charles Renny
Charles Renny
Expert automobile
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