Se maintenir dans la moyenne n’est pas suffisant. Cela a peut-être été le cas autrefois, mais ça ne vous aidera sûrement pas à dépasser le stade de l’audition d’American Idol. Il en va de même pour l’industrie automobile; si vous ne pouvez impressionner Simon Cowell, vous retournez à la maison, et dans ce cas-ci, vous ne quitterez pas la salle de montre.
Durant ses années de gloire, le créneau des utilitaires sport débordait de modèles de tous les formats et de tous les niveaux de qualité, allant de médiocre à excellent. En analysant le marché actuel, il apparaît évident que seuls les meilleurs ont survécu. L’un d’eux s’avère le Volkswagen Touareg.
Honnêtement, si on m’avait donné une boule de cristal il y a six ans et que j’avais vu de quoi aurait l’air ce modèle en 2010 (sans parler de l’ébauche du modèle 2011 redessiné), je n’en aurais pas cru mes yeux. Après tout, le Touareg original (2004-2005) figurait en dessous de la moyenne.
Un Volks
Vous vous demandez pourquoi il a survécu? C’est simple : regardez-le! En plus de bien paraître, il affiche une bouille sympathique et distinguée qu’à peu près n’importe qui peut aimer. Ajoutez à cela une conduite incomparable sur route et hors route, et vous obtenez un VUS hautement désirable.
Les Volkswagen ont ce petit quelque chose qui fait que les gens en redemandent. Notre plus récent essai routier de la Golf 2010 a été marqué par un certain nombre d’accrocs mais, comme je le répète, cela fait partie de l’expérience. Vous pouvez acheter une Corolla si vous voulez — j’ai recommandé cette voiture à un collègue de travail dernièrement — mais j’ai aussi fortement vanté les Volkswagen GTI et Passat CC à deux autres personnes que je croise souvent dans les couloirs d’Auto123. Tout dépend de qui vous êtes et de ce que vous recherchez dans une voiture.
Ça ressemble à un Volks
En scrutant de plus près, vous remarquerez sûrement que les lignes et les formes du Touareg découlent du même moule que les autres produits de la gamme. La physionomie est typique de Volkswagen-Audi; par contre, les ailes arrière, le hayon et la ligne du pare-chocs tout en rondeur et en fluidité me rappellent les anciennes Volks.
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| La version Comfortline mise à l’essai valait 56 950 $ avec les différentes options incluses. |
Durant ses années de gloire, le créneau des utilitaires sport débordait de modèles de tous les formats et de tous les niveaux de qualité, allant de médiocre à excellent. En analysant le marché actuel, il apparaît évident que seuls les meilleurs ont survécu. L’un d’eux s’avère le Volkswagen Touareg.
Honnêtement, si on m’avait donné une boule de cristal il y a six ans et que j’avais vu de quoi aurait l’air ce modèle en 2010 (sans parler de l’ébauche du modèle 2011 redessiné), je n’en aurais pas cru mes yeux. Après tout, le Touareg original (2004-2005) figurait en dessous de la moyenne.
Un Volks
Vous vous demandez pourquoi il a survécu? C’est simple : regardez-le! En plus de bien paraître, il affiche une bouille sympathique et distinguée qu’à peu près n’importe qui peut aimer. Ajoutez à cela une conduite incomparable sur route et hors route, et vous obtenez un VUS hautement désirable.
Les Volkswagen ont ce petit quelque chose qui fait que les gens en redemandent. Notre plus récent essai routier de la Golf 2010 a été marqué par un certain nombre d’accrocs mais, comme je le répète, cela fait partie de l’expérience. Vous pouvez acheter une Corolla si vous voulez — j’ai recommandé cette voiture à un collègue de travail dernièrement — mais j’ai aussi fortement vanté les Volkswagen GTI et Passat CC à deux autres personnes que je croise souvent dans les couloirs d’Auto123. Tout dépend de qui vous êtes et de ce que vous recherchez dans une voiture.
Ça ressemble à un Volks
En scrutant de plus près, vous remarquerez sûrement que les lignes et les formes du Touareg découlent du même moule que les autres produits de la gamme. La physionomie est typique de Volkswagen-Audi; par contre, les ailes arrière, le hayon et la ligne du pare-chocs tout en rondeur et en fluidité me rappellent les anciennes Volks.
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| Arborant des roues massives au design «sexy», le Touareg se dresse fièrement comme un Allemand. |