Envoyé par
MisterT
Bon, avant que certains disent des niaiseries, je vais l'écrire immédiatement :)
La ministre donne un ultimatum aux étudiants pour l'annulation de la session. Alors voici des questions en rafale :
- Qui va payer les frais fixes des universités (immobilisation)?
- Qui va payer les salaires des professeurs ainsi que le personnel de soutien?
- Que fait-on avec les professeurs contractuels spécialisés venant de l'étranger avec un visa temporaire et une maison temporaire?
- Que fait-on avec les étudiants du cégep qui arrivent à l'université? On les fait attendre? On fait redoubler le monde jusqu'en maternel (je sais, c'est irrationnel :) )
- L'offre de cours est souvent basée sur une session d'automne et une session d'hiver. Doit-on changer le programme? Offrir les deux niveaux de cours? Capacité des universités de le faire? On fait attendre les étudiants un an au lieu d'une session? Si oui, retour aux questions si-haut
- Les systèmes informatiques : Sont-ils capable de supporté ce changement? Est-il programmé pour cela? On ne parle pas seulement de celui du mels mais ceux des universités.
- Les prêts? Combien coût ce report de session en intérêts déboursés par le gvt (durant les études)
- Les Universités, peuvent-ils se permettre de ne pas avoir de revenu de loyer (résidence) sur leurs immobilisations?
- Les employeurs? En pénurie de mains d’œuvre qualifié...peuvent-ils se permettre d'attendre 1 an?
- Le plan nord de Charest? surement affecté par le manque de ing, ca etc.
- Ils prennent la décission d'annuler la session = service non rendu = rembourse du montant payé par les étudiants. le Gvt va voter une loi spécial qui sera brisé en cours suprême par la suite. Ce recours va nous avoir coûter un bras pour rien
etc. Bref, assez couteux merci!