"Pas mal tout le monde...": seulement... pas mal tout le monde qui sont contre les augmentations. La réalité, c'est que 60-65% de la population est en faveur, mais eux, on ne les voit pas descendre dans les rues tout démolir..
"0.1%...": là, il y a du vrai. 175 000 étudiants en grève, mais plus de 300 00 en salle de cours. Combien y avait-il d'étudiants vendredi en ville? 1 000....1 500...2 000? pas dur à trouver dans une grosse agglomération comme Montréal. Ce sont toujours les mêmes qui sont vus d'une place à l'autre. Dès que tu sors de Montréal, regarde la quantité d'autobus: pourquoi des autobus en région???
Au total, ils ne représentent pas plus de ½ de 1% des seuls étudiants en gréve manigancée. Ça prend pas beaucoup de monde pour foutre le bordel.
"gvt...ouverture": ça sert à quoi un gouvernement? Il a été élu pour prendre des décisions et le rétablissement des finances est une de leur priorité.
"...culottes...santé": sous prétexte qu'il y a un problème ailleurs, on laisse faire le reste....
Les frais de scolarité ne sont qu'un prétexte. On est devant un problème beaucoup plus sérieux. Même le plus abruti des citoyens sait que tout cela pourrait se règler de façon civilisée lors des prochaines élections qui auront lieu dans moins d'un an.
On est bien plus devant l'action un regroupement syndicats-partis politiques-étudiants (pour la job de bras) qui veulent imposer un point de vue par la violence.
Pas pour rien que certaines associations essaient de sortir de cet engrenage.
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