Retour des nordiques de Québec

[MisterT]

... et des impôts.

Tout dépend, mais ce facteur est de moins en moins différent. Les joueurs se trouvent de bons fiscalistes qui investissent façon différentes. Aussi, plusieurs états imposes les joueurs qui viennent jouer dans leurs états.

[MisterT]

a chaque fois que les nordiques fesaient un echange dans le temps, les joueurs ne voulaient pas venir ici, ca ne changera pas aujour'hui. ca va etre la meme chose avec les joueurs autonomes. le seul moyen d'avoir de bon joueur sera par le repechage

Le seul que j'ai en tête...c'est Lindros qui fut un gros plus pour les Nordiques/Avalange. Qui d'autres?

[togo]

Le seul que j'ai en tête...c'est Lindros qui fut un gros plus pour les Nordiques/Avalange. Qui d'autres?

Effectivement.
Ils n'étaient peut-être pas fondamentalement mal intentionnés avec leur histoire, mais une famille plus épaisse que ça, tu meurs.

[jonlep]

Le seul que j'ai en tête...c'est Lindros qui fut un gros plus pour les Nordiques/Avalange. Qui d'autres?

vite de même je me rappel de John O'grodnick, il est venu à Québec (après avoir pris du temps pour réfléchir) mais en a bougonné un coup pour ensuite être échangé l'année suivante.
Un autre est le gardien de but Greg Millen, il était classé dans le top 5 des gardiens de la ligue, il jouait pour les Blues avant d'être échangé, il a fait comme Ogrodnick (bougonné et demande de réflexion avant de venir ici) et les nordiques ont détruit sa carrière parce qu'il n'a jamais été le même après avoir été échangé par les nordiques.
Il y en a eu d'autre mais ça fait longtemps dans ma petite mémoire.

Un exemple, Montréal a de la misère à attirer des joueurs autonomes, imagines-toi Québec, une ville presque 100% francophone pis il fait frète l'hiver.

Tiens, je viens de trouver ça:
la devise du Québec devrait changer pour "je me souviens plus"...

extrait pour te rafraichir la mémoire:
http://www.histoirenordiques.ca/souvenir18.html

"Des joueurs au talent douteux comme Reggie Thomas, Gerry Hart et Dave Farrish, on peut s'en passer. Le cas de John Ogrodnick est beaucoup plus sérieux. Après avoir demandé une transaction durant tout l'été 1987, «Johnny O» est cédé aux Rangers de New York. Puis c'est au tour de Walt Poddubny de vouloir quitter Québec. Et Greg Millen refuse de s'y rendre. Avec le «problème» de la langue, l'écart qui se creuse entre le dollar canadien et le dollar américain, et la dégringolade des Nordiques au classement, les vedettes ne veulent plus jouer pour Québec. Comme si ce n'était pas assez, des médias américains tombent dans le panneau et colportent toutes sortes de faussetés sur la ville de Québec; par exemple, un journaliste duUSA Today écrit en 1990 qu'il n'y a même pas d'écoles anglophones ni de télé en anglais à Québec!"

"Il n’est pas surprenant qu'un paquet de joueurs fassent ajouter dans leur contrat une clause de non-échange aux Nordiques. On connaît la chanson: «Québec est une belle ville à visiter, mais pas pour y habiter!»"

[Alain36]

Tout dépend, mais ce facteur est de moins en moins différent. Les joueurs se trouvent de bons fiscalistes qui investissent façon différentes. Aussi, plusieurs états imposes les joueurs qui viennent jouer dans leurs états.

Exact! Les joueurs paient les impôts sur les matchs qu'ils jouent ici, qu'ils soient dans l'équipe locale ou les visiteurs.