«Parfois, les clients ont l'impression qu'ils sont obligés d'accepter. Mais ils ont le droit de dire non!» affirme Catherine Mainguy, présidente du Regroupement des cabinets de courtage d'assurance du Québec.Selon elle, il arrive que le directeur commercial insiste un peu trop pour que le client prenne l'assurance, insinuant même qu'un refus pourrait nuire à l'obtention du financement. «Exact! C'est un de leurs arguments», confirme George Iny, président de l'Association pour la protection des automobilistes (APA).


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