D'après GMM
Après quatre titres consécutifs, l'état de grâce a quitté Sebastian Vettel en 2014. Après un changement de châssis pour l'Espagne, les problèmes sont revenus à Monaco pour l'Allemand, où la fiabilité a non seulement ruiné ses qualifications, mais aussi sa course. « Un moteur turbo sans turbo n'est pas un moteur turbo », plaisantait Sebastian Vettel dans la presse allemande. Monaco était le 100e grand prix de Sebastian Vettel avec Red Bull et l'Allemand avait pourtant hâte de quitter la Principauté après la course. « Comment est-ce que je peux sortir d'ici ? Je n'ai pas de bateau ! », lançait-il aux journalistes, avec un brin d'humour inhabituel. Quelques heures plus tôt, sa frustration en course était évidente dans la radio : « Allez les gars. Vous avez vraiment tout essayé ? ».
Dans le même temps, Daniel Ricciardo récoltait les applaudissements de son nouveau podium, faisant presque passer Vettel pour un numéro 2 chez Red Bull. « Chaque champion passe par une phase comme celle-ci à un moment. Il semble qu'il a hérité de la voiture de Mark Webber », déclarait Martin Brundle dans Die Welt, en référence aux problèmes constants de l'ancien coéquipier de Vettel. Sebastian Vettel admet : « Il y a toujours quelque chose de nouveau qui ne va pas, mais ça ne peut pas durer éternellement ». Niki Lauda compatit avec le quadruple champion du monde en difficulté. « Cela peut arriver lorsqu'une équipe fait tout pour revenir, malheureusement ça tombe toujours sur Sebastian. Quand ça va mal, ça va mal », de déclarer le légendaire président de l'équipe Mercedes à RTL. « Les ennuis se produisent. Mais nous avançons », de commenter Sebastian Vettel à l'agence de presse DPA.
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