Les véhicules sont comme les individus : parfois difficiles à saisir et remplis de troubles de la personnalité. Surtout quand, comme dans le cas du Dodge Journey, le créateur même du véhicule souhaite sciemment créer un nouveau créneau, mélangeant les styles existants.
Bref, le Dodge Journey est à la fois une fourgonnette et un utilitaire, sans pour autant rejoindre le créneau des multisegments. Dans les faits, à l'image de la révolution amorcée avec la création de la célèbre Autobeaucoup, Dodge souhaite relancer un peu un segment moins populaire mais toujours pratique, celui des véhicules familiaux de grand format.
Surtout pas une fourgonnette
J'entends d'ici les petits nouveaux papas maugréer : encore une autre fourgonnette qui se donne de grands airs. Et pas question, pour le nouveau papa habitué à la conduite de sa voiture personnelle, de consentir à se montrer au volant de ce genre de véhicule. L'orgueil a un prix tout de même !
Cette fois, cependant, Dodge riposte avec intelligence avec son Journey. En simples termes de dimensions, le véhicule est plus petit que la traditionnelle fourgonnette. Ce qui ne l'empêche pas, dans certaines configurations offertes en option comme celle de mon véhicule d'essai, d'être aussi capable de recevoir jusqu'à sept passagers dans un espace, somme toute, raisonnable.
C'est vrai, la troisième rangée n'a de sièges que le nom. Les coussins sont durs, l'espace, limité, l'accès, étriqué. Mais quand vient le temps de transporter fiston et son groupe de soccer, cela devient un outil intéressant.
Vous n'en avez pas besoin ? Qu'à cela ne tienne, vous repliez le tout dans le plancher et vous voilà nanti d'une camionnette à cinq passagers spacieuse et pratique, avec un vaste espace de chargement arrière muni, ô merveille, d'un plancher réversible oscillant entre le tapis et le vinyle lavable.
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| Le Dodge Journey est à la fois une fourgonnette et un utilitaire. |
Bref, le Dodge Journey est à la fois une fourgonnette et un utilitaire, sans pour autant rejoindre le créneau des multisegments. Dans les faits, à l'image de la révolution amorcée avec la création de la célèbre Autobeaucoup, Dodge souhaite relancer un peu un segment moins populaire mais toujours pratique, celui des véhicules familiaux de grand format.
Surtout pas une fourgonnette
J'entends d'ici les petits nouveaux papas maugréer : encore une autre fourgonnette qui se donne de grands airs. Et pas question, pour le nouveau papa habitué à la conduite de sa voiture personnelle, de consentir à se montrer au volant de ce genre de véhicule. L'orgueil a un prix tout de même !
Cette fois, cependant, Dodge riposte avec intelligence avec son Journey. En simples termes de dimensions, le véhicule est plus petit que la traditionnelle fourgonnette. Ce qui ne l'empêche pas, dans certaines configurations offertes en option comme celle de mon véhicule d'essai, d'être aussi capable de recevoir jusqu'à sept passagers dans un espace, somme toute, raisonnable.
C'est vrai, la troisième rangée n'a de sièges que le nom. Les coussins sont durs, l'espace, limité, l'accès, étriqué. Mais quand vient le temps de transporter fiston et son groupe de soccer, cela devient un outil intéressant.
Vous n'en avez pas besoin ? Qu'à cela ne tienne, vous repliez le tout dans le plancher et vous voilà nanti d'une camionnette à cinq passagers spacieuse et pratique, avec un vaste espace de chargement arrière muni, ô merveille, d'un plancher réversible oscillant entre le tapis et le vinyle lavable.
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| Lorsque vous repliez le dossier du siège de la troisième rangée, le Journey offre un espace de chargement spacieux et pratique. |