Achèteriez-vous une voiture à motorisation diesel pour une raison autre que l’économie de carburant? Les performances, par exemple? Non, je suis certain que plusieurs d’entre vous ne croirez pas qu’un moteur diesel puisse procurer à une voiture des accélérations enivrantes.
Mais c’est le cas. Pour ceux qui n’ont pas encore essayé un moteur turbo diesel dans les cinq dernières années, on peut avoir le meilleur des deux mondes. Mais je reste toujours convaincu que vous vous achèteriez une voiture à motorisation diesel pour sa plus grande économie de carburant, et les performances ne représentent que du glaçage sur le gâteau. Et c’est pourquoi la nouvelle 335d de BMW me laisse un peu confus.
Les performances
Bon, parlons sérieusement. Le moteur diesel biturbo à 24 soupapes de 3,0 litres dans la berline de Série 3 ainsi que dans le VUS X5 développe 265 chevaux et un couple de 425 lb-pi, ce dernier à seulement 1 750 tours/minute. En comparaison, un moteur 3.0 TDI se retrouve dans des produits VW et Audi et produit des chiffres de puissance plus modestes (225 ch / 407 lb-pi), tandis que le BlueTEC de Mercedes-Benz se montre encore moins musclé (210 ch / 400 lb-pi).
Avec la boîte automatique à 6 rapports obligatoire, le 0 à 100 km/h s’enregistre en 6,4 secondes, soit une demi-seconde moins rapide que dans la 335i de 300 chevaux. Avec tout ce couple à bas régime, la 335d décolle avec férocité, mais s’essouffle rapidement au-delà de 4 500 tr/min. Ça ne pose pas de problème en conduite normale, et la vaste majorité des moteurs turbodiesel agissent ainsi.
Et ce moteur est doux, à part un léger claquement au démarrage. Chaque passager ayant roulé à bord n’a jamais deviné que la voiture cachait un moteur diesel, puisque dans tout siège autre que celui du conducteur, on n’a pas l’impression qu’il s’agit d’un diesel.
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| En ce moment, aucune des rivales de la Série 3 n’offre un moteur diesel en Amérique du Nord. |
Mais c’est le cas. Pour ceux qui n’ont pas encore essayé un moteur turbo diesel dans les cinq dernières années, on peut avoir le meilleur des deux mondes. Mais je reste toujours convaincu que vous vous achèteriez une voiture à motorisation diesel pour sa plus grande économie de carburant, et les performances ne représentent que du glaçage sur le gâteau. Et c’est pourquoi la nouvelle 335d de BMW me laisse un peu confus.
Les performances
Bon, parlons sérieusement. Le moteur diesel biturbo à 24 soupapes de 3,0 litres dans la berline de Série 3 ainsi que dans le VUS X5 développe 265 chevaux et un couple de 425 lb-pi, ce dernier à seulement 1 750 tours/minute. En comparaison, un moteur 3.0 TDI se retrouve dans des produits VW et Audi et produit des chiffres de puissance plus modestes (225 ch / 407 lb-pi), tandis que le BlueTEC de Mercedes-Benz se montre encore moins musclé (210 ch / 400 lb-pi).
Avec la boîte automatique à 6 rapports obligatoire, le 0 à 100 km/h s’enregistre en 6,4 secondes, soit une demi-seconde moins rapide que dans la 335i de 300 chevaux. Avec tout ce couple à bas régime, la 335d décolle avec férocité, mais s’essouffle rapidement au-delà de 4 500 tr/min. Ça ne pose pas de problème en conduite normale, et la vaste majorité des moteurs turbodiesel agissent ainsi.
Et ce moteur est doux, à part un léger claquement au démarrage. Chaque passager ayant roulé à bord n’a jamais deviné que la voiture cachait un moteur diesel, puisque dans tout siège autre que celui du conducteur, on n’a pas l’impression qu’il s’agit d’un diesel.
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| Le moteur diesel biturbo à 24 soupapes de 3,0 litres dans la berline de Série 3 éveloppe 265 chevaux et un couple de 425 lb-pi. |