D'ici quelques années, Mazda prévoit intégrer ses technologies SKYACTIV – des moteurs, des boîtes de vitesses et des plateformes qui maximisent l'économie de carburant - à l'ensemble de sa gamme. Le premier modèle à en bénéficier est nul autre que la Mazda3 2012.
Encore une fois, deux variantes de la compacte japonaise figurent au menu : la berline Mazda3 à quatre portes ainsi que la Mazda3 Sport à cinq portes. Elles reçoivent quelques mises à jour pour 2012 après une refonte complète en 2010. Leur moteur de base reste toutefois le même, c'est-à-dire un quatre-cylindres de 2,0 L. Celui-ci fait équipe avec une boîte manuelle à cinq rapports ou, en option, une automatique à cinq rapports avec mode manuel.
La nouvelle version Mazda3 GS-SKY 2012 profite, quant à elle, d'un moteur SKYACTIV-G de 2,0 L à injection directe qui augmente la puissance à 155 chevaux (+7) et le couple à 148 livres-pied (+13). La boîte manuelle ou automatique qui l'accompagne compte six rapports. Tout ça, c'est bien beau, mais pas autant que la consommation d'essence réduite d'environ 20 %.
Mazda a réussi pareil tour de force en limitant la friction à l'intérieur du moteur ainsi qu'en allégeant ce dernier. De plus, les ingénieurs ont inséré une cavité au sommet des pistons afin d'optimiser la combustion et, par le fait même, le rendement énergétique. À elles seules, les boîtes à six rapports contribuent à diminuer la consommation de 6 %, ce qui place la Mazda3 Sport GS-SKY 2012 au même rang que les Volkswagen Golf TDI et Ford Focus.
Notons que les versions d'entrée de gamme GX et GS se contentent d'un moteur de 148 chevaux, tandis que la GT demeure fidèle à son moteur de 2,5 L qui produit 167 chevaux.
Au-delà de l'économie d'essence, Mazda a orienté ses efforts vers une tenue de route supérieure qui ne sacrifie pas le confort de roulement. J'ai fait un test sur des routes enneigées et mal entretenues, ce qui m'a permis de comparer avec les anciens modèles. Puis, j'ai attaqué des virages sur une chaussée sèche, aussi vite que j'ai pu afin de mettre les pneus et la suspension à l'épreuve. Dans les deux cas, j'ai remarqué une nette amélioration. Clairement, les ingénieurs de Mazda ont visé dans le mille.
Néanmoins, il restait le test ultime : la Mazda3 Sport saurait-elle convaincre mon épouse? Elle a certes apprécié le confort des sièges et la position de conduite lors de nos longues promenades, mais l'intérieur se voulait un peu trop fade à son goût. De façon générale, elle préfère la Hyundai Elantra. Cela dit, la belle carrosserie bleue de la Mazda3 l'a séduite.
À l'arrière, les passagers manquent un tantinet d'espace, surtout au niveau des jambes. Sur une note positive, l'aire de chargement devient presque gigantesque une fois les dossiers repliés. J'y ai rangé ma poche de hockey et j'aurais très bien pu en embarquer quelques autres. La Mazda3 Sport a tout aussi facilement avalé mes emplettes du mois chez Costco.
Bien équipée, la version GS-SKY 2012 à boîte automatique que j'ai conduite valait 22 290 $. À ce prix, tous ceux qui magasinent pour une voiture compacte devraient l'essayer. Comment passer à côté d'une machine aussi amusante et économe d'essence, capable d'en prendre et de se réchauffer rapidement en hiver – surtout si elle arbore une belle carrosserie bleue!
Encore une fois, deux variantes de la compacte japonaise figurent au menu : la berline Mazda3 à quatre portes ainsi que la Mazda3 Sport à cinq portes. Elles reçoivent quelques mises à jour pour 2012 après une refonte complète en 2010. Leur moteur de base reste toutefois le même, c'est-à-dire un quatre-cylindres de 2,0 L. Celui-ci fait équipe avec une boîte manuelle à cinq rapports ou, en option, une automatique à cinq rapports avec mode manuel.
La nouvelle version Mazda3 GS-SKY 2012 profite, quant à elle, d'un moteur SKYACTIV-G de 2,0 L à injection directe qui augmente la puissance à 155 chevaux (+7) et le couple à 148 livres-pied (+13). La boîte manuelle ou automatique qui l'accompagne compte six rapports. Tout ça, c'est bien beau, mais pas autant que la consommation d'essence réduite d'environ 20 %.
Mazda a réussi pareil tour de force en limitant la friction à l'intérieur du moteur ainsi qu'en allégeant ce dernier. De plus, les ingénieurs ont inséré une cavité au sommet des pistons afin d'optimiser la combustion et, par le fait même, le rendement énergétique. À elles seules, les boîtes à six rapports contribuent à diminuer la consommation de 6 %, ce qui place la Mazda3 Sport GS-SKY 2012 au même rang que les Volkswagen Golf TDI et Ford Focus.
Notons que les versions d'entrée de gamme GX et GS se contentent d'un moteur de 148 chevaux, tandis que la GT demeure fidèle à son moteur de 2,5 L qui produit 167 chevaux.
Au-delà de l'économie d'essence, Mazda a orienté ses efforts vers une tenue de route supérieure qui ne sacrifie pas le confort de roulement. J'ai fait un test sur des routes enneigées et mal entretenues, ce qui m'a permis de comparer avec les anciens modèles. Puis, j'ai attaqué des virages sur une chaussée sèche, aussi vite que j'ai pu afin de mettre les pneus et la suspension à l'épreuve. Dans les deux cas, j'ai remarqué une nette amélioration. Clairement, les ingénieurs de Mazda ont visé dans le mille.
Néanmoins, il restait le test ultime : la Mazda3 Sport saurait-elle convaincre mon épouse? Elle a certes apprécié le confort des sièges et la position de conduite lors de nos longues promenades, mais l'intérieur se voulait un peu trop fade à son goût. De façon générale, elle préfère la Hyundai Elantra. Cela dit, la belle carrosserie bleue de la Mazda3 l'a séduite.
À l'arrière, les passagers manquent un tantinet d'espace, surtout au niveau des jambes. Sur une note positive, l'aire de chargement devient presque gigantesque une fois les dossiers repliés. J'y ai rangé ma poche de hockey et j'aurais très bien pu en embarquer quelques autres. La Mazda3 Sport a tout aussi facilement avalé mes emplettes du mois chez Costco.
Bien équipée, la version GS-SKY 2012 à boîte automatique que j'ai conduite valait 22 290 $. À ce prix, tous ceux qui magasinent pour une voiture compacte devraient l'essayer. Comment passer à côté d'une machine aussi amusante et économe d'essence, capable d'en prendre et de se réchauffer rapidement en hiver – surtout si elle arbore une belle carrosserie bleue!
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