5 excellentes raisons d'aller assister à une course de stock cars

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Les amateurs de courses automobiles doivent savoir qu’il existe autre chose que la prestigieuse Formule 1.

Du karting aux voitures sedans, en passant par les monoplaces de petite cylindrée jusqu’aux stock cars, il y a des courses excitantes à tous les niveaux.

Après quelques années d’interruption, je suis récemment retourné assister à une épreuve de stock cars. C’était à l’Autodrome St-Eustache, près de Montréal, pour un programme complet, incluant la série ACT-Québec.

Photo: René fagnan

Je m’y suis rendu comme un amateur, et j’ai assisté au spectacle assis dans les gradins.

Ce retour aux sources m’oblige à vous donner ici 5 excellentes raisons d’aller assister à une divertissante soirée de courses de stock cars.

1ère raison
On voit toute la piste. L’immense avantage de ces ovales, grands comme petits, est d’avoir une vue dégagée sur toute la piste et de ne rien manquer de l’action. Un dépassement ? Un accrochage ? Un accident ? Vous voyez tout !

2e raison
Un paddock ouvert à tous. L’accès libre au paddock est généralement compris dans le prix d’achat du billet, ou exige un léger supplément. Vous pouvez donc vous promener au milieu de la cohue des voitures et des pilotes. Demandes d’autographes comprises.

Photo: Matthieu Lambert

3e raison
Bas prix des billets. Le prix d’un billet pour une place assise est relativement bas. Il oscille généralement entre 20 et 40$. Et cela vous donne droit à cinq ou six heures de spectacle. C’est pas cher de l’heure…

4e raison
Le programme est chargé et il n’y a pas de temps morts. Aucun. C’est dans ce détail où le stock-car est réellement supérieur au circuit routier. Les essais, manches de qualifications et finales se succèdent à un rythme fou ! Les voitures d’une catégorie ont à peine quitté l’arène que les autres entrent en action !

5e raison
Il y a de tout, pour tous. Outre les stock cars traditionnels, les amateurs ont habituellement la chance de voir d’autres catégories en action, comme les mini-légendes, les sports compactes, les Late Models et même les monstres de la classe DIRT. On voit et on entend de tout, des petits quatre cylindres aux gros V8 !

Photo: Matthieu Lambert