D'après GMM
Les dirigeants d'écuries pourraient affronter Bernie Ecclestone sur les prochains longs calendriers du championnat du monde.
Le Mexique se joint le calendrier l'an prochain, l'Azerbaïdjan et le New Jersey arriveraient en 2016.
Cela porterait le calendrier du championnat de 19 à potentiellement 22 grands prix. À noter que les Accords Concorde autorisent 20 courses par an.
Auto Motor und Sport révèle que les récents accords commerciaux établis par Bernie Ecclestone et signés par les acteurs de la F1 permettent 22 courses par saison.
Pour les détenteurs des droits commerciaux, davantage de courses signifie automatiquement davantage de revenus.
Cependant un calcul des coûts de fonctionnement des écuries démontre que 21 courses serait une limite financière de rentabilité.
« Je pense que nous devons être prudents et ne pas saturer l'année avec trop de courses. Nous savons ce que ça signifie pour notre personnel. Nous pourrions avoir à restructurer les choses, il faut donc bien étudier le sujet avant de prendre ce genre de mesures », de déclarer Monisha Kaltenborn.
La directrice générale fait référence à un point de basculement dans la structure des écuries, où un certain nombre de courses ferait repenser la logistique et envisager une nouvelle rotation du personnel.
« Il est clair que l'allongement du championnat avec plus de courses signifie davantage d'investissements de notre côté et ouvre au débat », de commenter Marco Mattiacci de Ferrari.
Les dirigeants d'écuries pourraient affronter Bernie Ecclestone sur les prochains longs calendriers du championnat du monde.
Le Mexique se joint le calendrier l'an prochain, l'Azerbaïdjan et le New Jersey arriveraient en 2016.
Cela porterait le calendrier du championnat de 19 à potentiellement 22 grands prix. À noter que les Accords Concorde autorisent 20 courses par an.
Auto Motor und Sport révèle que les récents accords commerciaux établis par Bernie Ecclestone et signés par les acteurs de la F1 permettent 22 courses par saison.
Pour les détenteurs des droits commerciaux, davantage de courses signifie automatiquement davantage de revenus.
Cependant un calcul des coûts de fonctionnement des écuries démontre que 21 courses serait une limite financière de rentabilité.
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| Grand Prix du Canada 2014. (Photo: WRi2) |
« Je pense que nous devons être prudents et ne pas saturer l'année avec trop de courses. Nous savons ce que ça signifie pour notre personnel. Nous pourrions avoir à restructurer les choses, il faut donc bien étudier le sujet avant de prendre ce genre de mesures », de déclarer Monisha Kaltenborn.
La directrice générale fait référence à un point de basculement dans la structure des écuries, où un certain nombre de courses ferait repenser la logistique et envisager une nouvelle rotation du personnel.
« Il est clair que l'allongement du championnat avec plus de courses signifie davantage d'investissements de notre côté et ouvre au débat », de commenter Marco Mattiacci de Ferrari.