D’après GMM
Bernie Ecclestone a balayé du revers de la main les rumeurs disant qu’il n’a pas pu reprendre sa place au sein du comité exécutif qui dirige la F1.
Des journaux britanniques ont cependant écrit vendredi que la compagnie qui gère le sport, Delta Topco, avait mis des « conditions » au retour d’Ecclestone, même si les problèmes juridiques de ce dernier sont terminés.
Selon ces mêmes journaux, les « conditions » n’auraient pas été remplies.
Ecclestone a répondu en disant que tout cela n’était que de la « foutaise ».
« L’entente était que je ne siège pas au conseil pendant le procès et que les choses reprennent leur cours normal après », déclare l’octogénaire dans les pages du Daily Telegraph.
« Oui, je siège au conseil. », ajoute-t-il.
« Les ‘conditions’ étaient si je voulais acheter certaines choses – je ne sais pas moi, la tour Eiffel par exemple – je devais d’abord demander la permission du reste du conseil. »
CVC, qui réunit les différents actionnaires de la F1, n’a pas commenté la situation.
Bernie Ecclestone a balayé du revers de la main les rumeurs disant qu’il n’a pas pu reprendre sa place au sein du comité exécutif qui dirige la F1.
Des journaux britanniques ont cependant écrit vendredi que la compagnie qui gère le sport, Delta Topco, avait mis des « conditions » au retour d’Ecclestone, même si les problèmes juridiques de ce dernier sont terminés.
Selon ces mêmes journaux, les « conditions » n’auraient pas été remplies.
Ecclestone a répondu en disant que tout cela n’était que de la « foutaise ».
« L’entente était que je ne siège pas au conseil pendant le procès et que les choses reprennent leur cours normal après », déclare l’octogénaire dans les pages du Daily Telegraph.
« Oui, je siège au conseil. », ajoute-t-il.
« Les ‘conditions’ étaient si je voulais acheter certaines choses – je ne sais pas moi, la tour Eiffel par exemple – je devais d’abord demander la permission du reste du conseil. »
CVC, qui réunit les différents actionnaires de la F1, n’a pas commenté la situation.