Plus tôt en juin, Ross Brawn, directeur général de Mercedes AMG de Formule 1, soutenait qu’il était « inévitable » que l’équipe tire profit à essayer des pneus Pirelli.
Toutefois, lors de son audition devant le Tribunal international de la FIA jeudi à Paris, l’ingénieur britannique affirme que Mercedes n’en a tiré aucun avantage.
« Je ne vois pas comment [nous aurions pu en profiter] », a-t-il déclaré.
« Nous n’avions aucune idée des pneus essayés. Nous n’avions aucune idée des objectifs que Pirelli désirait atteindre lors de cet essai », d’ajouter Brawn.
« Nous fonctionnons toujours selon le principe qu’aucune information vaut mieux que de mauvaises informations. Je ne vois pas du tout comment nous aurions pu utiliser quelque donnée issue de ce test », a-t-il expliqué.
Brawn a toutefois admis que puisque l’écurie a utilisé une voiture 2013, il était impossible que les ingénieurs n’apprennent rien de cet essai. Il ajoute que la situation doit demeurer dans son contexte.
« Je crois que cela est inévitable. Et cela a été pris en considération quand nous avons eu la permission de la FIA d’effectuer l’essai. Mais cela doit être replacé dans son contexte et ne pas être surestimé, » de préciser Ross Brawn.
Les auditions du Tribunal international continuent aujourd’hui, jeudi.
Toutefois, lors de son audition devant le Tribunal international de la FIA jeudi à Paris, l’ingénieur britannique affirme que Mercedes n’en a tiré aucun avantage.
« Je ne vois pas comment [nous aurions pu en profiter] », a-t-il déclaré.
« Nous n’avions aucune idée des pneus essayés. Nous n’avions aucune idée des objectifs que Pirelli désirait atteindre lors de cet essai », d’ajouter Brawn.
« Nous fonctionnons toujours selon le principe qu’aucune information vaut mieux que de mauvaises informations. Je ne vois pas du tout comment nous aurions pu utiliser quelque donnée issue de ce test », a-t-il expliqué.
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| Photo: Mercedes AMG Petronas F1 Team |
Brawn a toutefois admis que puisque l’écurie a utilisé une voiture 2013, il était impossible que les ingénieurs n’apprennent rien de cet essai. Il ajoute que la situation doit demeurer dans son contexte.
« Je crois que cela est inévitable. Et cela a été pris en considération quand nous avons eu la permission de la FIA d’effectuer l’essai. Mais cela doit être replacé dans son contexte et ne pas être surestimé, » de préciser Ross Brawn.
Les auditions du Tribunal international continuent aujourd’hui, jeudi.