D'après GMM
Il y a tout juste quelques jours, le patron de Force India, Bob Fernley, déclarait son envie de voir la Formule 1 retourner sur le continent africain : « C'est le seul continent sur lequel nous n'allons pas et j'aimerais que cela change », avait-il déclaré.
Et bien si l'on en croit les rumeurs qui courent ce mercredi, en provenance d'Afrique du Sud, Bernie Ecclestone serait tout près d'une entente avec les organisateurs d'un événement dans les rues de la ville de Cape Town.
« J'espère que nous en viendrons à une entente (pour la tenue d'une course) au cours des semaines à venir », a insisté Ecclestone. « Nous étions heureux en Afrique du Sud. Ce sera bon d'y retourner. »
Le dernier Grand Prix tenu en Afrique a eu lieu sur le circuit de Kyalami, en 1993. C'est Alain Prost qui l'avait emporté.
Pendant ce temps la F1 continue de s'enrichir avec un nouveau partenaire potentiel. Une entente évaluée entre 50 et 100 millions de dollars avec la firme indienne de technologies Mahindra Satyam serait en effet sur le point d'être ratifiée.
« Nous sommes dans les derniers stades de négociation. C'est un contrat important qui sera bien visible », a déclaré le représentant Satyam Dilbagh Gill, à Boston.
Il y a tout juste quelques jours, le patron de Force India, Bob Fernley, déclarait son envie de voir la Formule 1 retourner sur le continent africain : « C'est le seul continent sur lequel nous n'allons pas et j'aimerais que cela change », avait-il déclaré.
Et bien si l'on en croit les rumeurs qui courent ce mercredi, en provenance d'Afrique du Sud, Bernie Ecclestone serait tout près d'une entente avec les organisateurs d'un événement dans les rues de la ville de Cape Town.
« J'espère que nous en viendrons à une entente (pour la tenue d'une course) au cours des semaines à venir », a insisté Ecclestone. « Nous étions heureux en Afrique du Sud. Ce sera bon d'y retourner. »
Le dernier Grand Prix tenu en Afrique a eu lieu sur le circuit de Kyalami, en 1993. C'est Alain Prost qui l'avait emporté.
Pendant ce temps la F1 continue de s'enrichir avec un nouveau partenaire potentiel. Une entente évaluée entre 50 et 100 millions de dollars avec la firme indienne de technologies Mahindra Satyam serait en effet sur le point d'être ratifiée.
« Nous sommes dans les derniers stades de négociation. C'est un contrat important qui sera bien visible », a déclaré le représentant Satyam Dilbagh Gill, à Boston.