Qu’arrive-t-il avec la Mitsubishi Eclipse ? Selon la compagnie, aucun modèle 2010 ne sera produit et commercialisé, ce qui veut dire que les acheteurs doivent se contenter de la même recette qu’en 2009, disponible en formats coupé (à partir de 25 998 $) et cabriolet ou « Spyder » (à partir de 32 298 $).
Malgré ses lignes très athlétiques et attrayantes, l’Eclipse se veut davantage une grande routière qu’une véritable sportive. Sous sa carrosserie, elle partage beaucoup de composantes avec la berline intermédiaire Galant, notamment ses moteurs de 2,4 litre (4 cylindres) et 3,8 litres (6 cylindres).
L’Eclipse GS reçoit une boîte manuelle à cinq rapports ou, en option, une automatique à quatre rapports. La GT-P à moteur V6 offre plutôt le choix entre une manuelle à six rapports et une automatique Sportronic à cinq rapports.
Ledit V6 bénéficie du système de contrôle électronique des soupapes de Mitsubishi (MIVEC), ce qui lui permet de générer une solide puissance de 265 chevaux et un couple non moins appréciable de 262 livres-pied. Dieu merci, car l’Eclipse n’est pas un bolide léger…
Cela dit, sa conduite et sa sensation sur la route ne manquent pas de charmer. Peu importe où elle passe, cette Japonaise fait tourner les têtes, surtout en version cabriolet avec le toit souple baissé. Ce dernier se range automatiquement et en silence sous une couverture magnifiquement intégrée à la silhouette de façon à préserver l’allure racée de la bête. Mitsubishi signale que le toit a été conçu spécialement pour «résister au ballonnement» en conduite à haute vitesse.
Enfin, le confort des occupants n’a pas été négligé. Le roulement demeure assez souple et les commodités abondent. La version GT-P offre d’ailleurs un climatiseur automatique, des garnitures en cuir et des pédales en aluminium. Les appuie-têtes avant présentent une ouverture afin d’améliorer la visibilité pour les passagers arrière. D’autre part, le coupé GT-P et toutes les versions du cabriolet Spyder héritent d’une chaîne sonore haut de gamme Rockford-Fosgate avec caisson d’extrêmes graves.
photo: Mitsubishi Motors
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| photo: Mitsubishi |
Malgré ses lignes très athlétiques et attrayantes, l’Eclipse se veut davantage une grande routière qu’une véritable sportive. Sous sa carrosserie, elle partage beaucoup de composantes avec la berline intermédiaire Galant, notamment ses moteurs de 2,4 litre (4 cylindres) et 3,8 litres (6 cylindres).
L’Eclipse GS reçoit une boîte manuelle à cinq rapports ou, en option, une automatique à quatre rapports. La GT-P à moteur V6 offre plutôt le choix entre une manuelle à six rapports et une automatique Sportronic à cinq rapports.
Ledit V6 bénéficie du système de contrôle électronique des soupapes de Mitsubishi (MIVEC), ce qui lui permet de générer une solide puissance de 265 chevaux et un couple non moins appréciable de 262 livres-pied. Dieu merci, car l’Eclipse n’est pas un bolide léger…
Cela dit, sa conduite et sa sensation sur la route ne manquent pas de charmer. Peu importe où elle passe, cette Japonaise fait tourner les têtes, surtout en version cabriolet avec le toit souple baissé. Ce dernier se range automatiquement et en silence sous une couverture magnifiquement intégrée à la silhouette de façon à préserver l’allure racée de la bête. Mitsubishi signale que le toit a été conçu spécialement pour «résister au ballonnement» en conduite à haute vitesse.
Enfin, le confort des occupants n’a pas été négligé. Le roulement demeure assez souple et les commodités abondent. La version GT-P offre d’ailleurs un climatiseur automatique, des garnitures en cuir et des pédales en aluminium. Les appuie-têtes avant présentent une ouverture afin d’améliorer la visibilité pour les passagers arrière. D’autre part, le coupé GT-P et toutes les versions du cabriolet Spyder héritent d’une chaîne sonore haut de gamme Rockford-Fosgate avec caisson d’extrêmes graves.
photo: Mitsubishi Motors