Motorisation tout juste suffisante
Sous le capot de la HHR LS, on trouve le 4 cylindres Ecotec de 2,2 litres qui génère 149 chevaux. Jumelé à la boîte automatique à 4 rapports, il est loin de fournir des performances électrisantes. Cependant, considérant la vocation du véhicule, elles sont correctes. Ceux qui veulent un peu plus de punch devront opter pour la version LT qui propose un moteur de 2,4 litres qui développe 23 étalons supplémentaires.
La moyenne de consommation de 9,5 litres aux 100 kilomètres est fort respectable. C'est d'ailleurs l'un des gros avantages de la HHR Panel par rapport aux grosses fourgonnettes : ces dernières consommeront entre 13 et 16 litres aux 100 kilomètres, selon le modèle et le moteur choisis. Ce n'est pas compliqué : plus on roule, plus on économise de l'argent, même si, comme travailleur autonome, on peut déduire les dépenses de carburant dans notre déclaration de revenu.
La tenue de route est agréable, et la direction se manie avec aisance : son diamètre de braquage est intéressant, et sa taille, plus petite que les Express, Savana et Econoline, fait en sorte que, si votre trajet quotidien se passe principalement en ville, la HHR Panel sera plus facile à vivre.
Belle et bien finie
Évidemment, la HHR a été dessinée en se basant sur des modèles Chevrolet des années 1950. Mais le modèle Panel leur ressemble encore plus. En effet, à ce moment-là, de tels véhicules sans fenêtres latérales étaient beaucoup plus courants. Bref, l'allure rétro me plaît bien, et la HHR Panel ne passe pas inaperçue.
En réalité, cette version de la HHR trouvera certainement preneur auprès des entreprises qui veulent s'afficher sur les flancs du véhicule, puisqu'il y a amplement de place pour y coller un énorme logo ou une annonce. Cela fait une publicité roulante pour pas cher.
À l'intérieur, les sièges sont confortables, et leur accès est facile. À l'exception d'un surplus de plastique texturé sur les portes, les matériaux utilisés ont une belle apparence, et le tout semble bien assemblé. La radio est un modèle de base, mais on peut quand même en commander une plus performante, qui peut lire les fichiers MP3 (325 $), ou même la radio satellite XM (260 $ de plus).
Le seul gros défaut de la HHR Panel, et cela ne surprendra personne, c'est la piètre visibilité. On ne voit pas grand-chose à l'arrière, et cela prend quelques jours pour s'y habituer. Les rétroviseurs semblent trop petits, puisqu'on cherche par tous les moyens de voir s'il y a des véhicules dans les importants angles morts.
Sous le capot de la HHR LS, on trouve le 4 cylindres Ecotec de 2,2 litres qui génère 149 chevaux. Jumelé à la boîte automatique à 4 rapports, il est loin de fournir des performances électrisantes. Cependant, considérant la vocation du véhicule, elles sont correctes. Ceux qui veulent un peu plus de punch devront opter pour la version LT qui propose un moteur de 2,4 litres qui développe 23 étalons supplémentaires.
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| Une motorisation plus étoffée permettrait une utilisation plus variée. |
La moyenne de consommation de 9,5 litres aux 100 kilomètres est fort respectable. C'est d'ailleurs l'un des gros avantages de la HHR Panel par rapport aux grosses fourgonnettes : ces dernières consommeront entre 13 et 16 litres aux 100 kilomètres, selon le modèle et le moteur choisis. Ce n'est pas compliqué : plus on roule, plus on économise de l'argent, même si, comme travailleur autonome, on peut déduire les dépenses de carburant dans notre déclaration de revenu.
La tenue de route est agréable, et la direction se manie avec aisance : son diamètre de braquage est intéressant, et sa taille, plus petite que les Express, Savana et Econoline, fait en sorte que, si votre trajet quotidien se passe principalement en ville, la HHR Panel sera plus facile à vivre.
Belle et bien finie
Évidemment, la HHR a été dessinée en se basant sur des modèles Chevrolet des années 1950. Mais le modèle Panel leur ressemble encore plus. En effet, à ce moment-là, de tels véhicules sans fenêtres latérales étaient beaucoup plus courants. Bref, l'allure rétro me plaît bien, et la HHR Panel ne passe pas inaperçue.
En réalité, cette version de la HHR trouvera certainement preneur auprès des entreprises qui veulent s'afficher sur les flancs du véhicule, puisqu'il y a amplement de place pour y coller un énorme logo ou une annonce. Cela fait une publicité roulante pour pas cher.
À l'intérieur, les sièges sont confortables, et leur accès est facile. À l'exception d'un surplus de plastique texturé sur les portes, les matériaux utilisés ont une belle apparence, et le tout semble bien assemblé. La radio est un modèle de base, mais on peut quand même en commander une plus performante, qui peut lire les fichiers MP3 (325 $), ou même la radio satellite XM (260 $ de plus).
Le seul gros défaut de la HHR Panel, et cela ne surprendra personne, c'est la piètre visibilité. On ne voit pas grand-chose à l'arrière, et cela prend quelques jours pour s'y habituer. Les rétroviseurs semblent trop petits, puisqu'on cherche par tous les moyens de voir s'il y a des véhicules dans les importants angles morts.
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| L'habitacle offre un bon confort et une accessibilité adéquate. |