Mécanique
Pour 2004, l'Elantra a droit à un moteur 2,0 litres légèrement modifié qui reçoit désormais le calage variable des soupapes. Cela se traduit par une meilleure consommation de carburant et une puissance supérieure à haut régime. D'ailleurs, au cours de mon essai, j'ai maintenu une moyenne de consommation de 7,9 litres au 100 kilomètres, une cote pratiquement égale à celle d'une Hyundai Accent. Développant 138 chevaux, soit trois de plus que l'an passé, le moteur offre des performances acceptables, mais qui ne passeront certainement pas à l'histoire. Avec la boîte manuelle, le 0-100 km/h se boucle en 9,9 secondes et les reprises de 80 à 120 km/h en 8,4 secondes. Si ce moteur m'avait semblé bruyant sous le capot de l'Elantra berline à boîte automatique, celui de la GT à boîte manuelle m'a paru plus discret. Il faut dire que lors de l'essai de la berline, la température se situait à environ -15 degrés, ce qui n'a certainement pas aidé cette voiture à cacher certains défauts.
Du côté des transmissions, deux boîtes sont offertes. La première est évidemment une manuelle à 5 rapports, qui dans ce cas-ci, est bien étagée. Cependant, le levier manque de précision et la course entre les rapports est inutilement longue. L'autre boîte est une automatique à 4 rapports, particulièrement lente, mais qui offre tout de même un rendement acceptable compte tenu du caractère économique de la voiture. Disons qu'en matière de transmission, on a déjà vu mieux.
Comportement
Comme je l'avais remarqué dans la berline, l'Elantra étonne par son confort et sa grande stabilité routière. Sans jamais ressentir la fatigue, vous pourrez parcourir plusieurs centaines de kilomètres en tout confort. La GT reçoit une suspension un doigt plus ferme que celle de la berline, qui n'est cependant pas comparable à celle d'une réelle voiture sport. La tenue de route n'est donc pas aussi surprenante qu'on pourrait le croire, puisqu'un roulis prononcé se fait sentir dès qu'on tente de négocier un virage avec plus de rigueur. Il faut dire que les exécrables pneus Michelin MXV4 qui chaussent l'Elantra n'aident pas, mais un peu moins de souplesse de la part des amortisseurs serait appréciée.
Sans être trop assistée, la direction ne fait pas suffisamment sentir la route au conducteur, qui sera sans doute déçu de l'agrément général que la voiture procure. Par contre, elle s'avère relativement précise et son court diamètre de braquage est apprécié en ville. Côté freinage, la GT fait appel à quatre disques qui effectuent un bien meilleur travail que les tambours arrière de la berline. Le système est efficace en toute situation, mais l'antiblocage offert en option déçoit par sa trop grande sensibilité. Il s'agit que vous ne freiniez sur une route légèrement bosselée pour que l'antiblocage entre en fonction en rallongeant sensiblement votre distance de freinage.
Pour 2004, l'Elantra a droit à un moteur 2,0 litres légèrement modifié qui reçoit désormais le calage variable des soupapes. Cela se traduit par une meilleure consommation de carburant et une puissance supérieure à haut régime. D'ailleurs, au cours de mon essai, j'ai maintenu une moyenne de consommation de 7,9 litres au 100 kilomètres, une cote pratiquement égale à celle d'une Hyundai Accent. Développant 138 chevaux, soit trois de plus que l'an passé, le moteur offre des performances acceptables, mais qui ne passeront certainement pas à l'histoire. Avec la boîte manuelle, le 0-100 km/h se boucle en 9,9 secondes et les reprises de 80 à 120 km/h en 8,4 secondes. Si ce moteur m'avait semblé bruyant sous le capot de l'Elantra berline à boîte automatique, celui de la GT à boîte manuelle m'a paru plus discret. Il faut dire que lors de l'essai de la berline, la température se situait à environ -15 degrés, ce qui n'a certainement pas aidé cette voiture à cacher certains défauts. Du côté des transmissions, deux boîtes sont offertes. La première est évidemment une manuelle à 5 rapports, qui dans ce cas-ci, est bien étagée. Cependant, le levier manque de précision et la course entre les rapports est inutilement longue. L'autre boîte est une automatique à 4 rapports, particulièrement lente, mais qui offre tout de même un rendement acceptable compte tenu du caractère économique de la voiture. Disons qu'en matière de transmission, on a déjà vu mieux.
Comportement
Comme je l'avais remarqué dans la berline, l'Elantra étonne par son confort et sa grande stabilité routière. Sans jamais ressentir la fatigue, vous pourrez parcourir plusieurs centaines de kilomètres en tout confort. La GT reçoit une suspension un doigt plus ferme que celle de la berline, qui n'est cependant pas comparable à celle d'une réelle voiture sport. La tenue de route n'est donc pas aussi surprenante qu'on pourrait le croire, puisqu'un roulis prononcé se fait sentir dès qu'on tente de négocier un virage avec plus de rigueur. Il faut dire que les exécrables pneus Michelin MXV4 qui chaussent l'Elantra n'aident pas, mais un peu moins de souplesse de la part des amortisseurs serait appréciée. Sans être trop assistée, la direction ne fait pas suffisamment sentir la route au conducteur, qui sera sans doute déçu de l'agrément général que la voiture procure. Par contre, elle s'avère relativement précise et son court diamètre de braquage est apprécié en ville. Côté freinage, la GT fait appel à quatre disques qui effectuent un bien meilleur travail que les tambours arrière de la berline. Le système est efficace en toute situation, mais l'antiblocage offert en option déçoit par sa trop grande sensibilité. Il s'agit que vous ne freiniez sur une route légèrement bosselée pour que l'antiblocage entre en fonction en rallongeant sensiblement votre distance de freinage.