Hélas, mon royaume ne s’étend pas plus loin que la chaîne de trottoir devant ma maison. Par conséquent, les parents de nouveaux détenteurs de permis de conduire devront continuer à accepter de voir leur jeune progéniture prendre la route dans des voitures économiques et efficaces, certes, mais aussi mal équipées, voire potentiellement dangereuses. Ce n’est pas juste Toyota -- tous les fabricants qui évoluent dans ce créneau sont coupables.
Bon, voilà, ma petite montée de lait est terminée; passons à l’essai routier de la Yaris 2009 en soi.
Petite mais grande
Les faibles dimensions extérieures de la Yaris Hatchback nous laissent penser que l’habitacle est serré. Erreur. Croyez-moi, l’espace ne manque pas. L’abondance de dégagement pour la tête compense pour l’étroitesse relative de la cabine et j’ai été en mesure de m’étirer de tout mon long pour me mettre bien à l’aise. Chemin faisant, mes passagers arrière ne se sont pas plaints d’une pénurie d’espace.
Pour ce qui est du chargement, on peut obtenir une aire à bagages somme toute spacieuse en rabattant les dossiers arrière, bien que le plancher qui en résulte soit à deux niveaux. Le hayon, lui, s’ouvre suffisamment haut pour qu’on évite de se cogner la caboche, ce qui rend l’accès et la manipulation des colis ultra faciles.
Moteur modeste mais fluide
Pour l’automobiliste nord-américain moyen, une cylindrée de 1,5 litre est bien petite. Toutefois, pour les Européens qui sont habitués à payer leur essence deux fois plus cher que nous, c’est une belle moyenne. Dans le nouveau contexte économique et environnemental auquel l’industrie automobile et les consommateurs doivent faire face, les moteurs à faible cylindrée seront appelés à jouer un rôle nettement plus prépondérant -- et avec raison.
Dans le cas de la petite Yaris, son moteur de 1,5 litre à double arbre à cames en tête bénéficie d’une distribution à calage variable intelligent (VVT-i) et de l’injection électronique multipoint séquentielle. Sa puissance est de 106 chevaux à 6000 tours/minute, tandis que son couple atteint 103 livres-pied à 4200 tours/minute.
Évidemment, ces chiffres ne se traduisent pas par une performance époustouflante, mais ils s’avèrent suffisants pour nous permettre de suivre le trafic sans effort. De plus, les côtes s’enchaînent sans que l’on s’en rende vraiment compte et sans se fatiguer le bras à jouer avec le levier de vitesses à cinq rapports pour rétrograder.
À moins de pousser plus à fond, le valeureux petit moteur est relativement tranquille, doux et plaisant. Pour plus de confort, sachez qu’une boîte automatique à quatre rapports est disponible pour tout faire le travail à votre place.
Bon, voilà, ma petite montée de lait est terminée; passons à l’essai routier de la Yaris 2009 en soi.
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| L’abondance de dégagement pour la tête compense pour l’étroitesse relative de la cabine. |
Petite mais grande
Les faibles dimensions extérieures de la Yaris Hatchback nous laissent penser que l’habitacle est serré. Erreur. Croyez-moi, l’espace ne manque pas. L’abondance de dégagement pour la tête compense pour l’étroitesse relative de la cabine et j’ai été en mesure de m’étirer de tout mon long pour me mettre bien à l’aise. Chemin faisant, mes passagers arrière ne se sont pas plaints d’une pénurie d’espace.
Pour ce qui est du chargement, on peut obtenir une aire à bagages somme toute spacieuse en rabattant les dossiers arrière, bien que le plancher qui en résulte soit à deux niveaux. Le hayon, lui, s’ouvre suffisamment haut pour qu’on évite de se cogner la caboche, ce qui rend l’accès et la manipulation des colis ultra faciles.
Moteur modeste mais fluide
Pour l’automobiliste nord-américain moyen, une cylindrée de 1,5 litre est bien petite. Toutefois, pour les Européens qui sont habitués à payer leur essence deux fois plus cher que nous, c’est une belle moyenne. Dans le nouveau contexte économique et environnemental auquel l’industrie automobile et les consommateurs doivent faire face, les moteurs à faible cylindrée seront appelés à jouer un rôle nettement plus prépondérant -- et avec raison.
Dans le cas de la petite Yaris, son moteur de 1,5 litre à double arbre à cames en tête bénéficie d’une distribution à calage variable intelligent (VVT-i) et de l’injection électronique multipoint séquentielle. Sa puissance est de 106 chevaux à 6000 tours/minute, tandis que son couple atteint 103 livres-pied à 4200 tours/minute.
Évidemment, ces chiffres ne se traduisent pas par une performance époustouflante, mais ils s’avèrent suffisants pour nous permettre de suivre le trafic sans effort. De plus, les côtes s’enchaînent sans que l’on s’en rende vraiment compte et sans se fatiguer le bras à jouer avec le levier de vitesses à cinq rapports pour rétrograder.
À moins de pousser plus à fond, le valeureux petit moteur est relativement tranquille, doux et plaisant. Pour plus de confort, sachez qu’une boîte automatique à quatre rapports est disponible pour tout faire le travail à votre place.
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| Le moteur de 1,5 litre à double arbre à cames en tête bénéficie d’une distribution à calage variable intelligent (VVT-i). |