MÉCANIQUE
Le changement tant attendu porte sur la motorisation. On passe du 5 cylindres à un V6 de 2,8 litres avec 201 chevaux et 181 livres-pied de couple. Une surprise : on doit utiliser de l'essence super. L'Eurovan n'est pourtant pas une BMW. Ce moteur est accouplé à une transmission automatique à 4 rapports avec un système antipatinage de série. Un irritant majeur, ce levier de chan-gement de vitesses au plan-cher : il est difficile à utiliser et on se demande souvent si l'on a engagé la bonne vitesse. La suspension indépendante aux quatre roues possède un système de stabilité électronique et de traction asservie. On compte sur quatre freins à disque avec système antipatinage.
COMPORTEMENT
Le V6 montre une bonne accélération même si à froid la transmission émet un sifflement. Le passage des vitesses se fait bien, mais on l'entend. L'EuroVan n'a aucun problème à soutenir le trafic et se faufile aisément. En virage, même serré, l'EuroVan maintient sa trajectoire, et le système de contrôle ne se fait pas sentir. Cette fourgonnette fait quand même preuve d'un roulis important.
HABITACLE
L'accès aux places avant exige des acrobaties, notamment du côté du conducteur, où on aurait souhaité profiter d'une poignée de maintien au niveau du toit plutôt que de devoir s'agripper au volant. La position de conduite ressemble à celle qu'on retrouve dans un camion. Sur des sièges fermes et confortables, les passagers profitent d'un très bon espace pour les jambes. Pour 575 $, on peut se procurer des sièges chauffants à l'avant : un luxe économique dans notre pays. Toutes les places possèdent des appuie-tête.
Le changement tant attendu porte sur la motorisation. On passe du 5 cylindres à un V6 de 2,8 litres avec 201 chevaux et 181 livres-pied de couple. Une surprise : on doit utiliser de l'essence super. L'Eurovan n'est pourtant pas une BMW. Ce moteur est accouplé à une transmission automatique à 4 rapports avec un système antipatinage de série. Un irritant majeur, ce levier de chan-gement de vitesses au plan-cher : il est difficile à utiliser et on se demande souvent si l'on a engagé la bonne vitesse. La suspension indépendante aux quatre roues possède un système de stabilité électronique et de traction asservie. On compte sur quatre freins à disque avec système antipatinage.
COMPORTEMENT
Le V6 montre une bonne accélération même si à froid la transmission émet un sifflement. Le passage des vitesses se fait bien, mais on l'entend. L'EuroVan n'a aucun problème à soutenir le trafic et se faufile aisément. En virage, même serré, l'EuroVan maintient sa trajectoire, et le système de contrôle ne se fait pas sentir. Cette fourgonnette fait quand même preuve d'un roulis important.
HABITACLE
L'accès aux places avant exige des acrobaties, notamment du côté du conducteur, où on aurait souhaité profiter d'une poignée de maintien au niveau du toit plutôt que de devoir s'agripper au volant. La position de conduite ressemble à celle qu'on retrouve dans un camion. Sur des sièges fermes et confortables, les passagers profitent d'un très bon espace pour les jambes. Pour 575 $, on peut se procurer des sièges chauffants à l'avant : un luxe économique dans notre pays. Toutes les places possèdent des appuie-tête.