Voir la version complète : Ou vos taxes vont !!
romanian hero
12/12/2006, 15h25
Un autre cadavre du PQ détéré. Donc après la Gaspesia, le metro de Laval, l'édifice de la CDP, et j'en ignore volontierement, voici un autre exemple édifiant comment nos taxes sont dépensées. Je vous rappele qu'on parle ici d'une industrie du 18 ieme siecle et non pas de haute technologie.
Source: La Presse, 12/12/2006
Rapport dévastateur du vérificateur général sur la SONACC
Presse Canadienne
Québec
Le vérificateur général du Québec dépose un rapport dévastateur sur les dépenses de la Société nationale du cheval de course, sous l'ancien gouvernement péquiste.
Renaud Lachance révèle des pratiques qu'il juge inacceptables, dont des augmentations de salaire et des bonis versés sans justification, ainsi que de folles dépenses, alors que Québec a investi 260 millions $ dans cette industrie entre 1999 et 2005.
Par exemple, des dirigeants et employés ont profité de repas gratuit à l'hippodrome de Montréal qui ont totalisé 1,1 million $.
Des frais de près de 740 000 $ ont été remboursés à 14 dirigeants alors que la moitié de ces dépenses étaient injustifiées. Cinq dirigeants ont profité d'une allocation annuelle de près de 20 000 $ pour l'utilisation d'une automobile.
Par ailleurs, un dirigeant a touché une prime de départ de 82 500 $, puis a été recruté comme consultant pour effectuer des travaux liés à ses anciennes fonctions, touchant ensuite des honoraires de 350 000 $ en deux ans.
Le gouvernement Charest a décidé de privatiser cette industrie en difficultés en 2005. L'appel d'offres a été remporté par l'entreprise Attractions hippiques.
powered_by_volvo
12/12/2006, 19h48
y peuvent ben dire que yon pas d'argent pour les écoles et les médecins/hopitaux après!!! Bande de ***********!!! La on blame le PQ mais dans 4ans on blamera le PLQ...plus ça change plus c'est pareille.
Francis F
12/12/2006, 22h22
Vous remarquerez que le vérificateur général va fesser sur les réalisations du PQ pendant le mandat des Libéraux et ce seront au tour des Libéraux de passer au cash dans quelques années...
Après les politiciens se demandent pourquoi ils n'ont plus de crédibilité envers la population. Tabbb.... ça c'est juste ce qu'on finit pas découvrir, imaginez tout ce qui reste inédit :?:
Silverblades
13/12/2006, 00h48
trop de fonctionnaires = pas assez de controle
ca prend pas un doctorat pour comprendre qu'il faut mettre la hache dans les associations de protection des lamas albinos financés a 95% par le gouvernement
Voici l'identité du coupable... Très bon papier de Dubuc en passant.
http://www.cyberpresse.ca/article/20061215/CPOPINIONS/612150766/5034/CPOPINIONS
Voici l'identité du coupable... Très bon papier de Dubuc en passant.
http://www.cyberpresse.ca/article/20061215/CPOPINIONS/612150766/5034/CPOPINIONS
Finalement, y'a pas que les libéraux fédéraux avec leur scandale... :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: Pourrait faire mal au PQ au prochaine élection... Coup donc, on jurerait qu'il ne veule pas le pouvoir :wink:
Et le plus drôle, c'Est que les petits péquistes se presse de dire que ça va être pareil avec les Libéraux !!! quand t'auras tes preuves, tu les amèneras...
trop de fonctionnaires = pas assez de controle
ca prend pas un doctorat pour comprendre qu'il faut mettre la hache dans les associations de protection des lamas albinos financés a 95% par le gouvernement
En fait Silver, t'as complètement tord sur ce point, généralement, plus que t'as de fonctionnaires, plus que t'as de contrôle, car les contrôles, avouons le, c'est une nuissance à la productivité, un contrôle, ça l'amène rien de plus à une organisation, c'est pas de la valeur ajoutée. Ce que l'on perd en valeur ajoutée, on le regagne en vérification et en respect des procédures...
Aussi, remarque un point, ce scandale et celui des commandites ont un gros points en commun... peu de fonctionnaires, peu de contrôles, interventionnisme politique (lire aussi influence politique)...
Généralement, les scandales arrivent dans les dossiers où il y a peu de fonctionnaire, peu de rédition de compte et que le monde des politiciens vient transgresser la frontière qui le sépare du monde des fonctionnaires.
trop de fonctionnaires = pas assez de controle
Ça prend vraiment quelqu'un en dehors de la machine pour faire des leçons de contrôle. Tu es vraiment déconnecté de la réalité. La preuve c'est que la plupart d'entre vous ont eux ou auront un party de bureau (Noël) payé par l'entreprise pour laquelle il travail.
Combien de party de bureau le gouvernement paye-t-il ? AUCUN. Les salariés se sont créés des clubs socials dont aucun sous provient de l'État et ceux qui n'adèrent pas au club n'ont pas de party de bureau. :shock:
Une autre preuve du non sens de l'affirmation disant qu'il y a trop de fonctionnaire c'est qu'il a oublié l'annonce du gouvernement de remplacé un fonctionnaire sur deux. Dans la réalité c'est parfois même du un sur quatre des gels d'embauche et la fermeture de service direct au citoyen. La situation commence a ressemblée aux hopitaux avec des surcharges de travail, l'augmentation des épuisements professionnels.
Je voudrais bien voir si les petits entrepreneurs qui sont sur une liste d'attente de plus en plus longue pour recevoir leur subvention permettant de créer de l'emploi se demande s'il y a vraiment trop de fonctionnaire ? Surtout lorsque celui travaillant sur son dossier n'a pas été remplacé et que sa demande sera traité dans une autre région que la sienne. Souvent, la rapidité de traitement de la demande met en péril la viabilité de l'entreprise.
Et le lien avec les taxes? Tu parles de quelle? TVQ? (sujet du post)
Et le lien avec les taxes? Tu parles de quelle? TVQ? (sujet du post)
Voici une définition selon le grand dictionnaire terminologique : Qui couvre globalement l'ensemble des charges occasionnées par le fonctionnement des services publics. Suivant leur caractères, les taxes peuvent présenter un caractère fiscal (elles ne peuvent alors être créées que par une loi) ou administratif.
Par conséquent, les taxes peuvent être pris de façon globale et non spécifique comme tu le mentionnes.
Des frais de près de 740 000 $ ont été remboursés à 14 dirigeants alors que la moitié de ces dépenses étaient injustifiées. Cinq dirigeants ont profité d'une allocation annuelle de près de 20 000 $ pour l'utilisation d'une automobile.
Par ailleurs, un dirigeant a touché une prime de départ de 82 500 $, puis a été recruté comme consultant pour effectuer des travaux liés à ses anciennes fonctions, touchant ensuite des honoraires de 350 000 $ en deux ans.
Ces dirigeants sont nommés par le politique, donc des amis du parti. Ce ne sont donc pas des fonctionnaires syndiqués.
Numéro 3
28/12/2006, 11h47
trop de fonctionnaires = pas assez de controle
Ça prend vraiment quelqu'un en dehors de la machine pour faire des leçons de contrôle. Tu es vraiment déconnecté de la réalité. La preuve c'est que la plupart d'entre vous ont eux ou auront un party de bureau (Noël) payé par l'entreprise pour laquelle il travail.
Combien de party de bureau le gouvernement paye-t-il ? AUCUN. Les salariés se sont créés des clubs socials dont aucun sous provient de l'État et ceux qui n'adèrent pas au club n'ont pas de party de bureau. :shock:
Une autre preuve du non sens de l'affirmation disant qu'il y a trop de fonctionnaire c'est qu'il a oublié l'annonce du gouvernement de remplacé un fonctionnaire sur deux. Dans la réalité c'est parfois même du un sur quatre des gels d'embauche et la fermeture de service direct au citoyen. La situation commence a ressemblée aux hopitaux avec des surcharges de travail, l'augmentation des épuisements professionnels.
Je voudrais bien voir si les petits entrepreneurs qui sont sur une liste d'attente de plus en plus longue pour recevoir leur subvention permettant de créer de l'emploi se demande s'il y a vraiment trop de fonctionnaire ? Surtout lorsque celui travaillant sur son dossier n'a pas été remplacé et que sa demande sera traité dans une autre région que la sienne. Souvent, la rapidité de traitement de la demande met en péril la viabilité de l'entreprise.
À partir de la citation de Silverblades, je serais plutôt tenté de dire "Trop de programmes inutiles = pas assez de contrôle".
Au fond, le problème n'est pas qu'il y a trop de fonctionnaires, mais trop de programmes qui se chevauchent et se dédoublent, parce que dans le contexte actuel, les politiciens peuvent faire passer n'importe quoi, et tout le monde s'en fout, tellement tout s'entrecroise et se perd à qui mieux mieux. Si un véritable ménage était effectué dans les programmes gouvernementaux, on pourrait réduire sensiblement le nombre de fonctionnaires, et en même temps, ceux qui resteraient seraient beaucoup plus efficaces, et beaucoup moins épuisés. Tout le monde sait que les ministres - et le premier ministre aussi - créent d'une main de nouveaux programmes, qui demandent la participation de nouveaux fonctionnaires, pour se faire du capital politique, alors que de l'autre main, ils doivent couper dans le fonctionnement de leurs ministères respectifs dans le but de boucler les budgets. Résultat: Plus personne ne comprend rien à rien. Imaginez: Au Québec, il y a une loi sur le déficit zéro, et en 2006, le budget est équilibré, mais la dette augmente de 4,3 milliards$. La comptabilité du gouvernement n'a plus rien à voir avec les principes comptables généralement reconnus (c'est bien comme ça que ça s'appelle?), et on fait dire n'importe quoi aux chiffres. Ce n'est pas pour rien que les sondages indiquent que la population en général a plus confiance à un vendeur de "minounes" qu'à un politicien.
Mais qu'est-ce qui empêche un tel ménage dans les programmes? La réponse est simple; ce sont les syndicats. Le jour où un politicien dira à la face d'un Henri Massé ou d'une Claudette Carbonneau une phrase du genre "Si les fonctionnaires sont pas contents, qu'ils clissent leur job là et qu'ils s'en aillent dans le privé!", à ce moment-là seulement je recommencerai à faire confiance à la politique. Mais dans notre beau "modèle québécois", ce n'est pas près de se produire. Les gouvernements, tous partis confondus, mangent dans la main des syndicats, c'est connu de tout le monde.
Le gros problème c'est que la pluspart du monde ne connaisses rien en politique et qui ne savent pas du tout comment gérer un pays, donc ca fait des partis qui achetes la population avec l'argent du peuples. Quand un parti a peur, il fait des niaiseries.
90 % du monde ne savent meme pas ce que es le déséquilibre fiscal et comme par hasard 90% des souverainiste venlent se séparer pour cette raison et le PQ et le bloc se font une joie de nourrir les incultes d'information completement fausses. Et la attention je ne veux pas dire que les souverainiste sont inculte.
Silverblades
28/12/2006, 12h17
90% des souverainistes veulent se séparer a cause du déséquilibre fiscal?
pitié...... :roll: :roll:
amène moi le sondage en question avant de prétendre nimporte quoi
90% des souverainistes veulent se séparer a cause du déséquilibre fiscal?
pitié...... :roll: :roll:
amène moi le sondage en question avant de prétendre nimporte quoi
Disons que ce n'es pas la seul raison mais ils en parlent tous.
Numéro 3
28/12/2006, 13h18
Le gros problème c'est que la pluspart du monde ne connaisses rien en politique et qui ne savent pas du tout comment gérer un pays, donc ca fait des partis qui achetes la population avec l'argent du peuples. Quand un parti a peur, il fait des niaiseries.
90 % du monde ne savent meme pas ce que es le déséquilibre fiscal et comme par hasard 90% des souverainiste venlent se séparer pour cette raison et le PQ et le bloc se font une joie de nourrir les incultes d'information completement fausses. Et la attention je ne veux pas dire que les souverainiste sont inculte.
Ça ne concerne pas seulement les partis politiques, mon cher Concept. Je t'invite à regarder cette émission (http://video.google.com/videoplay?docid=-4480559399263937213&hl=en-CA), qui traite de la paranoïa environnementale. Désolé, mais c'est en anglais. Tu pourra y constater que la "peur" fait faire plein de conneries aux gens.
À partir de la citation de Silverblades, je serais plutôt tenté de dire "Trop de programmes inutiles = pas assez de contrôle".
Au fond, le problème n'est pas qu'il y a trop de fonctionnaires, mais trop de programmes qui se chevauchent et se dédoublent, parce que dans le contexte actuel, les politiciens peuvent faire passer n'importe quoi, et tout le monde s'en fout, tellement tout s'entrecroise et se perd à qui mieux mieux. Si un véritable ménage était effectué dans les programmes gouvernementaux, on pourrait réduire sensiblement le nombre de fonctionnaires, et en même temps, ceux qui resteraient seraient beaucoup plus efficaces, et beaucoup moins épuisés. Tout le monde sait que les ministres - et le premier ministre aussi - créent d'une main de nouveaux programmes, qui demandent la participation de nouveaux fonctionnaires, pour se faire du capital politique, alors que de l'autre main, ils doivent couper dans le fonctionnement de leurs ministères respectifs dans le but de boucler les budgets. Résultat: Plus personne ne comprend rien à rien. Imaginez: Au Québec, il y a une loi sur le déficit zéro, et en 2006, le budget est équilibré, mais la dette augmente de 4,3 milliards$. La comptabilité du gouvernement n'a plus rien à voir avec les principes comptables généralement reconnus (c'est bien comme ça que ça s'appelle?), et on fait dire n'importe quoi aux chiffres. Ce n'est pas pour rien que les sondages indiquent que la population en général a plus confiance à un vendeur de "minounes" qu'à un politicien.
Mais qu'est-ce qui empêche un tel ménage dans les programmes? La réponse est simple; ce sont les syndicats. Le jour où un politicien dira à la face d'un Henri Massé ou d'une Claudette Carbonneau une phrase du genre "Si les fonctionnaires sont pas contents, qu'ils clissent leur job là et qu'ils s'en aillent dans le privé!", à ce moment-là seulement je recommencerai à faire confiance à la politique. Mais dans notre beau "modèle québécois", ce n'est pas près de se produire. Les gouvernements, tous partis confondus, mangent dans la main des syndicats, c'est connu de tout le monde.
Je suis d'accord qu'il y a trop de programme de subvention différent. Sauf que les dirigeants syndicaux dont tu mentionnes (Henry Massé et Claudette Carbonneau) n'ont rien à voir avec l'administration publique, ils sont présent en santé.
Qui veut son petit programme de subvention ? Chaque petit ministre qui défend son petit patelin et qui créer des règles sans dessus dessous pour plaire à l'opposition. C'est juste de la politique. Au Québec on simplifie les choses en les compliquant. C'est simple à comprendre, combien y-a-t-il eu de noyade dans les piscines privés cette été ? (Qu'est-ce que ton jeune faisait dans la piscine du voisin qui était cloturé) Les citoyens veulent que le gouvernement règlemente encore plus...On s'en sortira pas.
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