Francis F
17/08/2011, 21h48
http://i236.photobucket.com/albums/ff190/Dilla-the-Dude/WillPower.jpg
Pas de pneus pluie sur un ovale, alors on ne court pas lorsqu'il pleut sur les ovales. Dimanche dernier à Loudon au New Hampshire, une petite pluie fine commence à quelques tours de l'arrivée. La course est neutralisée. Mais la pluie gagne en intensité et la direction de course décide de relancer la course. Tous les pilotes sont contre, et tous les directeurs de course aussi. Ce qui devait arriver arriva et le clown de la série, Danica Patrick part en tête à queue en entrainant avec elle entre autres Takuma Sato et Will Power. Ce dernier est en lutte pour le championnat et visait les gros points. En passant de vant les commissaires, Will Power, en bon australien, s'est permis de leur passer un message clair. Retransmis en direct à la télé. Pendant ce temps, Michael Andretti passait le même message à la télé, mais de façon politically correct, son pilote, Ryan Hunter-Raey perdant la course à la relance. Jimmy Vasser n'a rien dit, mais son visage disait tout. Takuma Sato se dirigeait vers un de ses meilleurs résultats. Finalement, la direction de course sort le drapeau rouge et fige le classement de la course avant la relance. Hunter-Raey gagne et Power est classé 5è.
Cette situation est à l'inverse de la catastrophe du Grand Prix de Montréal où on a empêcher des F1 équipées de pneu pluie de courrir. La F1 est rendu un sport de fifi comme le Nascar et en Indycar, on court n'importe quand sans avoir le bon matériel... Mais Power risque des pénalités pour son geste, pas du tout apprécié par la direction de course. Surtout qu'il refuse (avec raison) de s'excuser. Et son patron, nul autre que le légendaire Roger Penske, l'appuie à 100 %. Tout comme Michael Andretti. Et sans Andretti et Penske, l'Indycar ne serait presque rien.
Parlant d'Indycar, ce serait bien qu'elle revienne à Montréal. Avec la Sprint Cup pour accompagner le tout. Et avec l'arrivée éventuelle d'une division nord américaine du championnat de tourisme australien aux USA, ça pourrait être intéressant...
Pas de pneus pluie sur un ovale, alors on ne court pas lorsqu'il pleut sur les ovales. Dimanche dernier à Loudon au New Hampshire, une petite pluie fine commence à quelques tours de l'arrivée. La course est neutralisée. Mais la pluie gagne en intensité et la direction de course décide de relancer la course. Tous les pilotes sont contre, et tous les directeurs de course aussi. Ce qui devait arriver arriva et le clown de la série, Danica Patrick part en tête à queue en entrainant avec elle entre autres Takuma Sato et Will Power. Ce dernier est en lutte pour le championnat et visait les gros points. En passant de vant les commissaires, Will Power, en bon australien, s'est permis de leur passer un message clair. Retransmis en direct à la télé. Pendant ce temps, Michael Andretti passait le même message à la télé, mais de façon politically correct, son pilote, Ryan Hunter-Raey perdant la course à la relance. Jimmy Vasser n'a rien dit, mais son visage disait tout. Takuma Sato se dirigeait vers un de ses meilleurs résultats. Finalement, la direction de course sort le drapeau rouge et fige le classement de la course avant la relance. Hunter-Raey gagne et Power est classé 5è.
Cette situation est à l'inverse de la catastrophe du Grand Prix de Montréal où on a empêcher des F1 équipées de pneu pluie de courrir. La F1 est rendu un sport de fifi comme le Nascar et en Indycar, on court n'importe quand sans avoir le bon matériel... Mais Power risque des pénalités pour son geste, pas du tout apprécié par la direction de course. Surtout qu'il refuse (avec raison) de s'excuser. Et son patron, nul autre que le légendaire Roger Penske, l'appuie à 100 %. Tout comme Michael Andretti. Et sans Andretti et Penske, l'Indycar ne serait presque rien.
Parlant d'Indycar, ce serait bien qu'elle revienne à Montréal. Avec la Sprint Cup pour accompagner le tout. Et avec l'arrivée éventuelle d'une division nord américaine du championnat de tourisme australien aux USA, ça pourrait être intéressant...