Francis F
14/09/2014, 19h16
Comme vous le savez probablement tous, je suis actuellement en vacances en Amérique du Sud. Deux pays au programme... Chili et Argentine... Santiago et Buenos Aires. Au départ, seule Buenos Aires était prévue. Mais le vol le moins cher était avec Air Canada et faisait escale à Santiago pour débarquer des passagers et faire le plein. Je me suis informé du prix si je prolonge l'escale à 3 jours... aucun surplus !
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Le voyage a donc commencé à Santiago, capitale du Chili. Santiago est une ville sensiblement de la taille de Montréal en population. Dotée d'un métro moderne, le transport dans la capitale chilienne est aisé et efficace. On ne se croirait pas dans un pays qui était aux mains des juntes millitaires jusqu'en 1991, si ce n'est les voitures de police aux vitres et phares grillagées. Mais ce qui frappe réellement, c'est que de partout dans Santiago, si on regarde vers l'Est, on voit les montagnes. La vue est absolument spectaculaire. La Cordillière des Andes n'est qu'à une quinzaine de kilomètres. La vue des montagnes m'a vraiment marqué.
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Le chilien moyen ne parle pas anglais. D'ailleurs, personne à mon hôtel ne parlait anglais. Et encore moins français. Moi qui n'a aucune connaissance de l'espagnol... ça ne veut juste pas rentrer. Pourtant, j'ai de la facilité avec les langues germaniques et scandinaves... Bref, la communication n'est pas facile. Par contre, les gens sont extrêmement serviables. Ils se mettent parfois à 4-5 pour te comprendre. Parfois, ils sortent leur cell et vont sur Google Translate. Autre particularité héritée des régimes millitaires, l'adoration du drapeau. Il est partout. Celui au centre de l'avenue Libertador Bernardo O'Higgins en face du palais de la Moneda (siège du gouvernement de Michelle Bachelet) est immense. Plus qu'un autobus.
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Ne cherchez pas d,immigrants au Chili, il n'y en a que très peu. Pas de problèmes d'accomodements raisonnables. La société est composée majoritairement de locaux, en bas de la classe sociale et d'Européens (espagnols) en haut de la classe sociale. Triste de voir les latinos en bas. Mais comme l'économie va de mieux en mieux et que le niveau de vie est le meilleur d'Amérique du Sud, il y a de l'espoir. Et c'est une chose que l'on sent à Santiago. Les gens sont heureux. Pas nécessairement riche, mais pas en manque. Autre détail inusité, Santiago se caractérise par ses centaines (milliers ?) de chiens errants. Un jour, un chien m'a suivi sur un km. Et ils respectent les règles pour traverser les rues. Plus que les humains.
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On traverse les Andes pour aller danser le Tango !
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Le voyage a donc commencé à Santiago, capitale du Chili. Santiago est une ville sensiblement de la taille de Montréal en population. Dotée d'un métro moderne, le transport dans la capitale chilienne est aisé et efficace. On ne se croirait pas dans un pays qui était aux mains des juntes millitaires jusqu'en 1991, si ce n'est les voitures de police aux vitres et phares grillagées. Mais ce qui frappe réellement, c'est que de partout dans Santiago, si on regarde vers l'Est, on voit les montagnes. La vue est absolument spectaculaire. La Cordillière des Andes n'est qu'à une quinzaine de kilomètres. La vue des montagnes m'a vraiment marqué.
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Le chilien moyen ne parle pas anglais. D'ailleurs, personne à mon hôtel ne parlait anglais. Et encore moins français. Moi qui n'a aucune connaissance de l'espagnol... ça ne veut juste pas rentrer. Pourtant, j'ai de la facilité avec les langues germaniques et scandinaves... Bref, la communication n'est pas facile. Par contre, les gens sont extrêmement serviables. Ils se mettent parfois à 4-5 pour te comprendre. Parfois, ils sortent leur cell et vont sur Google Translate. Autre particularité héritée des régimes millitaires, l'adoration du drapeau. Il est partout. Celui au centre de l'avenue Libertador Bernardo O'Higgins en face du palais de la Moneda (siège du gouvernement de Michelle Bachelet) est immense. Plus qu'un autobus.
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Ne cherchez pas d,immigrants au Chili, il n'y en a que très peu. Pas de problèmes d'accomodements raisonnables. La société est composée majoritairement de locaux, en bas de la classe sociale et d'Européens (espagnols) en haut de la classe sociale. Triste de voir les latinos en bas. Mais comme l'économie va de mieux en mieux et que le niveau de vie est le meilleur d'Amérique du Sud, il y a de l'espoir. Et c'est une chose que l'on sent à Santiago. Les gens sont heureux. Pas nécessairement riche, mais pas en manque. Autre détail inusité, Santiago se caractérise par ses centaines (milliers ?) de chiens errants. Un jour, un chien m'a suivi sur un km. Et ils respectent les règles pour traverser les rues. Plus que les humains.
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On traverse les Andes pour aller danser le Tango !