BedZ
05/04/2005, 11h57
Toyota aurait l'oeil sur l'Ontario (http://www.lapresseaffaires.com/partenaires/nouvelles/cyberpresse/index.php?id=8,2004,0,042005,983059.html&ref=cyberune)
Toyota lorgne un terrain de Woodstock, en Ontario, pour installer sa nouvelle usine de 600M$, rapporte le Globe and Mail. Ce projet créerait environ 1500 emplois et pourrait amener le géant de l'automobile à doubler sa production au Canada.
L'Ontario et le gouvernement fédéral tentent d'attirer la compagnie, qui cherche depuis plusieurs mois à augmenter ses capacités en Amérique du Nord et qui construit déjà à San Antonio, au Texas.
Le Québec n'a pour sa part fait aucune véritable tentative pour séduire Toyota, ont récemment indiqué à La PresseAffaires.com les porte-parole du ministère du Développement économique, de la SGF et d'Investissement Québec.
«On a pris connaissance des exigences de Toyota, puis on s'est retirés, rapporte Josée Belland, d'Investissement Québec. On a une masse critique en aéronautique, mais dans le secteur de l'automobile, l'Ontario nous dépasse nettement quant à la main d'œuvre, aux infrastructures, aux possibilités de sous-traitance et à l'environnement des affaires.»
Selon les sources du Globe, Toyota n'a pas pris de décision finale en faveur de l'Ontario, mais les travailleurs canadiens sont très estimés par les dirigeants de la compagnie japonaise. Le fait qu'une expansion soit déjà amorcée sur le territoire américain favoriserait aussi le Canada.
Le porte-parole de Toyota Canada, Greig Mordue, ne confirme pas les informations du quotidien. Mais il indique que les ventes de Toyota augmentent en Amérique du Nord et que l'entreprise préfère faire construire ses véhicules là où ils sont vendus. Dans l'éventualité d'un nouvel investissement, le Canada serait «un candidat fort», ajoute-t-il.
Toyota lorgne un terrain de Woodstock, en Ontario, pour installer sa nouvelle usine de 600M$, rapporte le Globe and Mail. Ce projet créerait environ 1500 emplois et pourrait amener le géant de l'automobile à doubler sa production au Canada.
L'Ontario et le gouvernement fédéral tentent d'attirer la compagnie, qui cherche depuis plusieurs mois à augmenter ses capacités en Amérique du Nord et qui construit déjà à San Antonio, au Texas.
Le Québec n'a pour sa part fait aucune véritable tentative pour séduire Toyota, ont récemment indiqué à La PresseAffaires.com les porte-parole du ministère du Développement économique, de la SGF et d'Investissement Québec.
«On a pris connaissance des exigences de Toyota, puis on s'est retirés, rapporte Josée Belland, d'Investissement Québec. On a une masse critique en aéronautique, mais dans le secteur de l'automobile, l'Ontario nous dépasse nettement quant à la main d'œuvre, aux infrastructures, aux possibilités de sous-traitance et à l'environnement des affaires.»
Selon les sources du Globe, Toyota n'a pas pris de décision finale en faveur de l'Ontario, mais les travailleurs canadiens sont très estimés par les dirigeants de la compagnie japonaise. Le fait qu'une expansion soit déjà amorcée sur le territoire américain favoriserait aussi le Canada.
Le porte-parole de Toyota Canada, Greig Mordue, ne confirme pas les informations du quotidien. Mais il indique que les ventes de Toyota augmentent en Amérique du Nord et que l'entreprise préfère faire construire ses véhicules là où ils sont vendus. Dans l'éventualité d'un nouvel investissement, le Canada serait «un candidat fort», ajoute-t-il.