STONE_COLD
14/07/2005, 13h20
Ils se sont ouverts les yeux finalement. :roll: Mais ça dit pas si Michelin va être puni par contre.
Jeudi 14 juillet 2005 - PARIS (AP) -- La Fédération internationale de l'automobile a estimé que les sept écuries de Formule un qui avaient refusé de courir le Grand Prix des Etats-Unis pour des raisons de sécurité n'étaient pas coupables d'infractions et qu'aucune sanction ne devait donc être décidée contre elles.
Par cette décision, la FIA fait marche arrière par rapport à sa première prise de position dans cette affaire. Elle avait conclu le 29 juin que les sept écuries concernées (BMW-Williams, Mercedes-McLaren, BAR-Honda, Toyota, Sauber, Red Bull et Renault) étaient coupables de ne pas avoir possédé des pneus en état de bon fonctionnement et d'avoir refusé de courir.
Les sept écuries n'avaient pas participé au GP en raison d'un problème de pneumatiques. Leur manufacturier Michelin n'ayant pu leur assurer une sécurité totale concernant la solidité de ses produits, elles avaient effectué le tour de chauffe avant de regagner les stands sans courir. Michael Schumacher sur une Ferrari équipée de pneus Bridgestone avait remporté une course disputée à six voitures, avec seulement deux autres écuries, Jordan et Minardi.
La FIA avait ensuite fait savoir qu'elle ne prononcerait pas de sanction avant le 14 septembre.
Le Sénat de la FIA, composé de huit responsables de la fédération, s'est réuni jeudi à Monaco et a conclu que les écuries avaient eu raison de suivre les recommandations de Michelin, estimant qu'elles étaient "contractuellement tenues" d'agir ainsi, selon un communiqué de la FIA.
La FIA va maintenant recommander à son conseil mondial d'abandonner les procédures de sanctions engagées contre les écuries concernées. Le conseil se prononcera dans quelques jours, selon le communiqué.
Jeudi 14 juillet 2005 - PARIS (AP) -- La Fédération internationale de l'automobile a estimé que les sept écuries de Formule un qui avaient refusé de courir le Grand Prix des Etats-Unis pour des raisons de sécurité n'étaient pas coupables d'infractions et qu'aucune sanction ne devait donc être décidée contre elles.
Par cette décision, la FIA fait marche arrière par rapport à sa première prise de position dans cette affaire. Elle avait conclu le 29 juin que les sept écuries concernées (BMW-Williams, Mercedes-McLaren, BAR-Honda, Toyota, Sauber, Red Bull et Renault) étaient coupables de ne pas avoir possédé des pneus en état de bon fonctionnement et d'avoir refusé de courir.
Les sept écuries n'avaient pas participé au GP en raison d'un problème de pneumatiques. Leur manufacturier Michelin n'ayant pu leur assurer une sécurité totale concernant la solidité de ses produits, elles avaient effectué le tour de chauffe avant de regagner les stands sans courir. Michael Schumacher sur une Ferrari équipée de pneus Bridgestone avait remporté une course disputée à six voitures, avec seulement deux autres écuries, Jordan et Minardi.
La FIA avait ensuite fait savoir qu'elle ne prononcerait pas de sanction avant le 14 septembre.
Le Sénat de la FIA, composé de huit responsables de la fédération, s'est réuni jeudi à Monaco et a conclu que les écuries avaient eu raison de suivre les recommandations de Michelin, estimant qu'elles étaient "contractuellement tenues" d'agir ainsi, selon un communiqué de la FIA.
La FIA va maintenant recommander à son conseil mondial d'abandonner les procédures de sanctions engagées contre les écuries concernées. Le conseil se prononcera dans quelques jours, selon le communiqué.