Voisin, ses enfants et mes autos
Petit problème de voisinage. Depuis juillet 2008, une nouvelle famille très reconstituée (4 adultes, 4 enfants) Indienne (Inde) est venue s’installée à côté de chez-moi. Dans un quartier de duplex. Ils ne sont pas attachés avec moi, c’est mes beaux-parents qui sont attachés au deuxième étage avec moi. Les enfants entre 3 ans et 7 ans jouent dans la rue sans surveillance. La plus grande garde les plus petits. Le problème est que les enfants jouent tout près des voitures. Tellement près que j’ai retrouvé des traces de roues de bicyclette sur le côté gauche en avant de mon véhicule. Comme tout a partie avec un certain frottement et de l’eau, je n’ai rien dit (surtout que lorsque je m’en aie aperçu, j’étais au lave auto). L’autre jour en enlevant l’air climatisée de la fenêtre, j’ai vu celle de 7 ans presque frapper dans le Sebring. Elle avait perdu contrôle de son bicycle. Mais le bout de la marde, hier j’ai su qu’il y a 3 jours, le père des enfants faisait rebondir un ballon en plastique sur le devant de la Cavalier. Oui, le Cavalier tombe en ruine, mais réellement, ce n’est pas une raison pour le faire briser encore plus. À ce moment, le Monsieur s’est aperçu que mes beaux-parents allaient se lever de leurs chaises pour l’avertir, il est donc parti. Quelques heures plus tard (après mon arrivée), c’était au tour du petit garçon de toucher au Sebring en passant ses mains sur les écritures et sur la peinture.
Je ne sais pas comment réagir du tout, je ne suis même pas certaine que cet homme parle français, je l’entends seulement crier en langue indienne. Mais comment faire pour faire comprendre à un homme comme celui-là que ses enfants peuvent briser les autos des autres alors que lui-même ne respecte rien du tout?????
En fin de semaine, les enfants étaient accotés sur le Land Rover d’un autre voisin (le même proprio que la Bentley).
Quoi lui dire et quoi faire pour que cela arrête, j’ai déjà assez payé pour les agissements des autres depuis mon arrivée à Montréal.
P.s. Je ne peux pas me stationner plus loin, parce qu’en fait, les enfants vont un peu partout dans la rue.