Version imprimable
http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201307/28/01-4674843-obama-sinquiete-de-la-disparite-croissante-des-salaires.php
La situation ne s'améliore pas pour la "classe moyenne". Ce n'est pas nouveau... mais comment contrer cette situation? Ça semble 'Mission Impossible'.
yep, mission presque impossible.
regarde ca, ok, c'est chez nos voisins du sud mais ... pas très loin de notre réalité canadienne.
https://www.youtube.com/watch?v=vttbhl_kDoo
Jusqu'au jour ou ca va peter, et ce jour n'est peut-être pas si loin. Et quand ça va peter, le canada va peter aussi, bien hâte....
On revient quasiment aux conditions pre-1930 avec des monopoly.Citation:
Envoyé par alex123
C'est en partie grâce aux pauvres et à la classe moyenne qui privilégient les grandes chaines au détriment d'entrepreneurs locaux. C'est la force des choses.... plus personne ne va à un petit épicier du coin (à moins qu'il soit seul). On va chez Costco, Maxi....
C' est la conséquence prévisible de la libéralisation des marchés.La classe moyenne est née partiellement du syndicalisme, Comme ce dernier bat de l ' aile ( surtout aux USA depuis les années Reagan ) il faut inventer des nouveaux modèles économiques pour assurer la prospérité de la classe moyenne. Car sans une classe moyenne forte et prospère, bye bye la paix sociale, les programmes sociaux et...la démocratie.
Parce que le peuple est travailleur, besogneux, les États-Unis vont se relever, mais il faudra du temps. Sont encore et toujours très productifs, sensiblement plus qu'au Canada.
Faut pas oublier qu'ils sont pris avec une dé-industrialisation depuis presque 65 ans. Les abus comme des concierges à 100 000$ par année chez GM ont fait le reste.
Actuellement, le mouvement semble vouloir s'inverser, mais au prix de salaires de famine surtout dans les états qui ont voté le "rigth to work". Le bon côté des choses, c'est que leur machine se remet en marche, même si ce n'est pas vite.
on est pas sorti du bois pour autant.
Plus le 1% accumule, moins le 99% peux acheter et faire tourner la roue.
On a beau se cacher derrière des beaux concepts d'économie, mais ca reste d'une simplicité étonnante.
Moi, j'ai mon esti de voyage d'entendre "acheter local". Ça fait 25 ans que j'entends ça. C'est moi qui paie, j'en veux pour mon argent. Si le commerçant local m'offre un produit intéressant à un prix qui a de l'allure, ben je vais l'acheter là, sinon bonjour Wal Mart, Costco et Maxi.Citation:
Envoyé par Saintor
Pis moi, la souveraineté alimentaire de Pauline, ça me fait rire. Si on faisait ça, on va retourner au "steak-blé d'inde-patate" assez vite merci.
X2!Citation:
Envoyé par Alain36
x 3!!!Citation:
Envoyé par Alain36
Et comme on le voit depuis 25 ans, il y a des conséquences au me, myself and I que nous vivons. Les Wal Mart, Costco et Maxi ont des moyens de négociations que les locaux ne pourront jamais avoir. Ultimement à force d'éliminer la concurrence locale ces grandes chaines pourront augmenter leurs prix.Citation:
Envoyé par Alain36
"...augmenter démesurément leurs prix et finir par voler le public." Discours d'économiste en 1776.Citation:
Envoyé par Saintor
Les tarifs de téléphone au Canada en sont un exemple patent.
En même temps, bien difficile de passer à côté de l'évolution des marchés pour ce qui est des petits commerçants, ce qui ne veut pas dire de rester passif.
Casserole a raison de vouloir améliorer les achats de produits Québec inc. -À l'épicerie, essayez de trouver une seule boite de conserve qui ne transite pas par l'Ontario et on comprend le sens de son discours.- Anormal.
Quand je peux acheter Québec, je le fais.