Dans la série des dictats religieux dans notre très très trop accommodante tribu québécoise qui font la manchette depuis quelques jours, voilà que la direction de l'Hôpital général juif (c'est préférable de dire ''Jewish General Hospital'' pour ne pas les froisser) a expulsé un ambulancier d'Urgences-Santé qui voulait manger un sandwich au jambon à la cafétéria, ce qui est interdit par le judaîsme. Les 5 aires de restauration dans l'hôpital sont casher....

Une autre preuve flagrante que ces minorités religieuses exigent respect et liberté de pratique quitte à heurter de plein fouet nos valeurs québécoises mais elles ne concèdent rien! Quand on pense que l'Hôpital Ste-Justine a fait installer un frigo spécial d'aliments casher dans la cafétéria à l'usage exclusif des juifs pour les accommoder!

Vous êtes pas écoeurés vous autres??? Nous nous sommes donné en tant que MAJORITÉ une société laïque ce qui est une très bonne chose. Alors pourquoi endurer ces foutus dictats religieux des MINORITÉS? Certains de nos élus comme Mario Dumont commencent à décrier ces aberrations publiquement mais ça va prendre une sérieuse prise en main sociale pour que nos valeurs soient respectées en tant que majorité. Au pays du politiquement correct et de la Charte des droits et libertés, avons-nous le cran comme société pour faire ça?

J'en suis rendu à rêver à l'émergeance d'un FLQ du peuple, revu et corrigé pour faire perdre l'envie à tout jamais à ces minorités religieuses de dépasser les frontières de leur domicile pour pratiquer leur crisse de religion.


Hôpital général juif

Un ambulancier expulsé à cause d'un sandwich au jambon!

À quel moment l'accommodement raisonnable pour les minorités religieuses devient déraisonnable?

Un ambulancier estime que l'Hôpital général juif de Montréal a franchi la ligne.

L'employé d'Urgences-Santé a été expulsé de la cafétéria parce qu'il mangeait du jambon, ce qui est interdit dans la religion juive.

Il a porté plainte à la Commission des droits de la personne.

L'Hôpital général juif est, malgré son nom, non confessionnel. Par contre, il applique à la lettre les valeurs du judaïsme. Ainsi, ses cinq aires de restauration sont toutes désignées comme casher. Cette consigne est clairement affichée.

C'est ce qu'a appris à ses dépens un ambulancier qui a voulu manger son lunch dans une de ces aires de restauration.

«Ici, on dit qu'on prie les employés de ne pas apporter de la nourriture de l'extérieur», explique le directeur des ressources humaines de l'hôpital, Jean-Marie Mallet.

L'institution prétend qu'on a offert à l'ambulancier de se restaurer au local des employés, qui a été désigné par un rabbin comme la seule zone non casher de l'hôpital. L'ambulancier aurait refusé et aurait adopté, selon l'hôpital, une attitude de provocation.

Faux, de rétorquer le syndicat: son membre a été carrément expulsé sans qu'on lui propose une alternative. Urgences-Santé n'a pas voulu commenter cet incident, sous prétexte qu'il s'est déroulé sur l'heure du lunch.

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regio...17-190744.html