Pour les hausses d'impôts, c'est comme écrit dans le ciel. Les américains, ayant le plus dépensés par habitants pour la relance, devraient y goûter en masse.
À la sortie de cette crise économique (et bancaire), attendez-vous à l'entrée dans une nouvelle: celle de la crise des finances publiques. Avec une hausse des taux d'intérêts à venir (à force de dépenser et à imprimer de l'argent.... ça pourra pas faire autrement), le pourcentage budgétaire des états qui ira au remboursement de la dette va exploser, ne laissant plus grand chose au autres secteurs, comme l'éducation, santé (pour le Canada), les routes, etc.
Scénario pessimiste, peut-être, mais qui devient de plus en plus réaliste...
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