L'annulation, c'est d'une simplicité incroyable. Tu mets la note échec aux étudiants absents... abandon si tu es gentil. Aussi simple que ça. Et c'est la meilleure chose à faire, pas juste une menace. À certains endroits, le boycott dure depuis 2 mois. Penses-tu que les étudiants vont se rappeller du début de la session s'ils retournent en classe demain matin ? En 1997, on avait eu une grève de 2-3 semaines au Cégep. Le taux d'échec avait été énorme. Imagine après 2 mois. Annuler la session, ce serait non seulement un moyen de dire aux étudiants que le gouvernement se fout de leurs moyens de pression illégaux, mais en plus, ça éviterait des échecs. La session annulée serait reprise cet été. Si toutefois les associations étudiantes cessent leurs enfantillages.
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