Coup d'oeil sur le bivouac Volkswagen source: raid.racing-live.com Bon anniversaire : aujourd'hui, le 2 janvier, Robby Gordon fête ses 36 ans
«Je n'aurai pas le temps de faire la fête, mais j'ai demandé à mes coéquipiers
s'ils ne pouvaient pas me faire cadeau de la deuxième victoire d'étape
aujourd'hui», a plaisanté l'Américain.
Après avoir parcouru, le jour de l'An, les 920 kilomètres de Barcelone jusqu'à
Grenade, les quatre Race-Touareg ont été soumis à une révision de routine le
soir. Le constat après vérification minutieuse : toutes les voitures sont en
excellent état.
L'organisateur ASO a affrété cinq ferries réservés exclusivement aux
participants au rallye Dakar. L'après-midi du 2 janvier, ils font passer la
caravane du rallye d'Algeciras à Tanger. Certains accompagnateurs de la caravane
qui partent avant ou après les concurrents, feront le voyage à bord de ferries
de ligne. «C'était relativement calme. Le rallye Dakar n'est pas encore très connu aux Etats-Unis. Je connais bien Lance Armstrong : il m'a expliqué que chez nous, peu de gens s'intéressaient pour les courses de vélo avant qu'il ne gagne le Tour de France.» D'emblée, vous étiez le plus rapide. Courez-vous de grands risques ?
«Je ne risque rien. Lors de la première spéciale, nous étions peut-être à 80
pour cent, nous avions encore pas mal de marge. En fait, ce n'était qu'un tour
de chauffe. Le vrai rallye commence en Afrique. Je coopère beaucoup avec mon
copilote Dirk von Zitzewitz. Ses indications sur la vitesse m'aident beaucoup.»
«Oui, parce que je sais m'adapter rapidement à une nouvelle voiture. Le fait de
faire beaucoup de moto m'aide également. Car elle apprend à bien apprécier ses
limites.»
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