Le double champion du monde n'envisage pas pour autant une reconversion. Même s'il ne dirait pas non à l'essai d'une F1. source: Le Matin - Michel Busset Samedi dernier, Sébastien Loeb est venu assister à quelques épreuves spéciales du Rallye du Chablais par simple amitié pour les organisateurs. Mais pas incognito pour autant. Il a dû jouer du stylo pour signer moult autographes. Puis se plier au petit jeu des questions-réponses, ce qu'il fit de bonne grâce car si l'homme a le statut d'une star, il est resté d'une immense simplicité. Dans quel état d'esprit abordez-vous les 24 Heures du Mans que vous allez disputer dans quelques jours pour la deuxième fois de votre carrière, sur une Pescarolo? J'aborde ce rendez-vous un peu particulier exactement comme un rallye du championnat du monde. A la différence près que je n'ai pas la même expérience de ce genre de course et qu'il me faudra beaucoup rouler durant les essais pour me remettre dans le coup. C'est d'autant plus vrai que je n'ai pas pu participer aux essais préliminaires puisque je disputais, dans le même temps, le Rallye de Grèce. Ces 24 Heures, les considérez-vous comme un défi ou y participez-vous simplement pour le plaisir? Pour le plaisir, mais sans doute ne me serais-je pas lancé dans l'aventure si je n'avais pas eu la chance de pouvoir piloter une voiture en mesure de jouer un rôle intéressant. Piloter une barquette comme la Pescarolo, c'est quelque chose de fabuleux. Mais c'est une voiture qui ne pardonne rien. Quand elle décroche, elle décroche...
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