David Lapworth livre ses sentiments source: rally.racing-live.com - Bruno VALETTE © CAPSIS International Le Rallye de Grande-Bretagne, qui se déroule sur les chemins forestiers du Pays de Galles, se dispute sur des spéciales rapides mais qui ont l'avantage de ne pas être particulièrement cassantes. Généralement, ce ne sont pas les pilotes qui disposent des voitures les plus robustes qui s'y imposent, mais ceux, qui en totale osmose avec leur auto, trouvent le rythme le mieux adapté au terrain. Mais les enseignements que les équipes ont pu glaner tout au long des précédentes éditions pourraient bien n'avoir aucune valeur depuis que le rallye à trouver une nouvelle place au calendrier : « Depuis sa création, le Rallye de Grande-Bretagne s'est déroulé au mois de novembre, sur des routes humides et par un épais brouillard », rappelait David Lapworth. « L'année dernière, la traditionnelle manche de clôture de la saison a été organisée au mois de septembre mais un bouleversement climatique a fait que les conditions sont restées les mêmes. Cette année, cela pourrait être complètement différent et le caractère du rallye pourrait changer de manière radicale. La spéciale de Margam, par exemple, est traditionnellement très glissante, mais sur le sec ça peut devenir poussiéreux - potentiellement le secteur le plus poussiéreux du championnat. » L'équipe Subaru a réalisé d'excellents résultats sur cette épreuve, Petter Solberg a remporté les trois dernières éditions : « Nous avons imposé nos Impreza sur huit des dix derniers rallyes de Grande-Bretagne, mais cela s'annonce plus difficile cette année. Certes nous avons l'avantage d'évoluer à la maison et Petter a signé trois succès consécutifs ici, cela nous permet d'aborder ce rallye en confiance », reconnaissait Lapworth.
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