Les leaders du championnat livrent leurs sentiments source: rally.racing-live.com - Bruno VALETTE © CAPSIS International Avant que les pilotes n'abordent les derniers spéciales de la saison en Australie, ils vont devoir affronter deux manches asphaltes qui, si elles affichent de nombreuses différences, présentent toutes deux de sérieuses difficultés. Le programme commence par le Tour de Corse du 21 au 23 octobre, avant que les animateurs du Mondial ne se retrouvent une semaine plus tard en Catalogne pour la le rendez-vous espagnol de la saison. Trois hommes cette année ont jusqu'alors marqué le championnat par les combats épiques qu'ils se sont livrés. Sébastien Loeb, qui a remporté au Japon son deuxième titre de champion du Monde, Marcus Grönholm, fer de lance de Peugeot, et le pilote phare de l'équipe Subaru, Petter Solberg. Tous trois ont des avis différents sur l'épreuve disputée sur l'Ile de Beauté, mais ils affichent en revanche le même enthousiasme. « Le Tour de Corse n'est jamais une course simple » estime pour sa part Sébastien Loeb. « En octobre, il peut devenir très compliqué. Si la météo est incertaine, le triptyque ''déplacement de la pluie - spéciales sinuant d'un versant à l'autre et séchant rapidement - choix des pneumatiques très en amont de l'heure de passage'' peut provoquer chez les tacticiens au mieux une solide migraine, au pire quelques sueurs froides ! Le pilotage demande beaucoup de précision car les routes sont très étroites et bosselées. Nous n'avons pas droit à la moindre erreur d'appréciation », confie le pilote Citroën qui aimerait bien accroché sa manche nationale à son palmarès.
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