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Subaru Outback 2.5i Sport 2010 : essai routier

Le meilleur taux d'intérêt
Justin Pritchard
L'Outback 2010 : conduite en douceur et bonne consommation
Selon Subaru, les propriétaires d’Outback se soucient peu de la catégorie dans laquelle se classe leur véhicule. Les conducteurs de ce transporteur nippon haut sur pattes ne le considèrent pas comme leur « utilitaire » ou leur « familiale », mais simplement comme leur « Outback ». Pour plusieurs, il ne s’agit que d’un appareil de transport.

Selon Subaru, les propriétaires d’Outback se soucient peu de la catégorie dans laquelle se classe leur véhicule.

L’Outback revisité

Une attitude plutôt fonctionnelle, n’est-ce pas? On doit se demander si Subaru s’en offusque, surtout vu le temps et l’effort récemment investis pour renouveler l’Outback de fond en comble.

Cette année, on a droit à une version plus imposante, plus distinctive et plus intéressante que jamais. Il démontre plus de robustesse que la feue familiale Legacy, et il a moins de la camionnette que le Forester. Si vous n’en conduisez pas déjà un et que vous cherchez à en prendre la mesure, pensez deux tiers familiale et un tiers utilitaire, et vous aurez une bonne idée de sa nature.

Équipement amélioré, transmission à variation continue

Avec cette dernière mise à jour, l’Outback reçoit du nouvel équipement à l’intérieur ainsi que sous sa carrosserie renouvelée et plus imposante. À titre d’exemple, une nouvelle suspension offre une expérience plus confortable tout en accaparant moins d’espace de chargement. En effet, le volume de l’habitacle est bonifié de 8 % malgré la longueur hors tout légèrement plus courte du véhicule.

On y trouve aussi une nouvelle transmission à variation continue, qui vient remplacer la boîte automatique à quatre rapports à l’ancienne sur les modèles à quatre cylindres. Elle travaille de concert avec certaines composantes légères et modifications du moteur afin d’assurer une consommation et des performances améliorées malgré le gain de poids.

Vous avez peut-être entendu des commentaires contradictoires à son sujet. Ce genre de boîte ressemble un peu à la margarine : certains la détestent, la majorité y est indifférente, et très peu la préfèrent au beurre.

Ironiquement, les performances de l’Outback font leur beurre avec cette transmission à variation continue. Sans changements de rapport à effectuer, les 170 chevaux sont déployés efficacement, sans hésitation ni brusquerie. De plus, le moteur peut monter en régime plus longtemps à basse vitesse.

Sans changements de rapport à effectuer, les 170 chevaux sont déployés efficacement.
Justin Pritchard
Justin Pritchard
Expert automobile
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