Rouler en carrosse
Dès que l'on appuie avec un peu d'insistance sur l'accélérateur, la Bentley Continental GTC s'élance avec vigueur, et avec une sonorité quasi symphonique. Le moteur W12 biturbo qui s'abrite sous le capot laisse aller ses 552 chevaux avec puissance, mais sans à-coups, conférant une accélération toute linéaire.
La direction, précise comme un bistouri, remplit aussi son mandat avec aisance, transmettant au conducteur toutes les informations de la route, tout en lui donnant juste assez d'assistance pour rendre la tâche plus facile.
Quant aux suspensions, elles sont tout simplement exceptionnelles. Lorsque la situation l'exige, elles peuvent être adaptées aux exigences de la route, optant soit pour un mode purement comfortable, soit pour un mode plus sport. Le changement, perceptible immédiatement, permet de conserver un peu plus de rigidité et d'ainsi éviter le transfert des masses du lourd véhicule, même en conduite un peu plus dynamique.
Évidemment, les freins sont aussi fort puissants, mais si on n'y prend pas garde, ou si on a mal procédé à l'ajustement des suspensions, le nez aura une forte tendance à pointer vers le bas, entraînant un certain incomfort et augmentant considérablement la distance requise pour stopper complètement le mastodonte.
Difficile enfin de traiter d'un véhicule aussi imposant sans mentionner l'espace de rangement. Quasi inexistant dans l'habitacle, il se reprend cependant dans le coffre arrière aux dimensions caverneuses, apte à loger sans difficulté les bagages de tous les passagers, incluant quelques extras.
Évidemment, difficile aussi de parler de ce genre de véhicule sans traiter de consommation. Avec une conduite quelque peu appuyée, et bien sûr les tests à effectuer, il fut impossible de maintenir une moyenne inférieure à 29 litres aux 100 kilomètres.
Un détail sans doute pour ceux qui sont capables de débourser les quelque 250 000 $ nécessaires à l'achat d'une Bentley Continental GTC. Et un bien petit investissement pour les quelques heures de plaisir pur passées à son volant.
Comfort, luxe et beauté
Accélération
Performance
Maniabilité
Manque un peu d'espace de rangement dans l'habitacle
Ouverture et fermeture du toit un peu lent...
Prix d'achat
photo:Ray Watson
Dès que l'on appuie avec un peu d'insistance sur l'accélérateur, la Bentley Continental GTC s'élance avec vigueur, et avec une sonorité quasi symphonique. Le moteur W12 biturbo qui s'abrite sous le capot laisse aller ses 552 chevaux avec puissance, mais sans à-coups, conférant une accélération toute linéaire.
 |
| Ce moteur à 12 cylindres met un mirobolant 552 chevaux à la disposition du chauffeur. |
La direction, précise comme un bistouri, remplit aussi son mandat avec aisance, transmettant au conducteur toutes les informations de la route, tout en lui donnant juste assez d'assistance pour rendre la tâche plus facile.
Quant aux suspensions, elles sont tout simplement exceptionnelles. Lorsque la situation l'exige, elles peuvent être adaptées aux exigences de la route, optant soit pour un mode purement comfortable, soit pour un mode plus sport. Le changement, perceptible immédiatement, permet de conserver un peu plus de rigidité et d'ainsi éviter le transfert des masses du lourd véhicule, même en conduite un peu plus dynamique.
Évidemment, les freins sont aussi fort puissants, mais si on n'y prend pas garde, ou si on a mal procédé à l'ajustement des suspensions, le nez aura une forte tendance à pointer vers le bas, entraînant un certain incomfort et augmentant considérablement la distance requise pour stopper complètement le mastodonte.
Difficile enfin de traiter d'un véhicule aussi imposant sans mentionner l'espace de rangement. Quasi inexistant dans l'habitacle, il se reprend cependant dans le coffre arrière aux dimensions caverneuses, apte à loger sans difficulté les bagages de tous les passagers, incluant quelques extras.
 |
| Le volume du coffre est étonnant, même avec le toit abaissé. |
Évidemment, difficile aussi de parler de ce genre de véhicule sans traiter de consommation. Avec une conduite quelque peu appuyée, et bien sûr les tests à effectuer, il fut impossible de maintenir une moyenne inférieure à 29 litres aux 100 kilomètres.
Un détail sans doute pour ceux qui sont capables de débourser les quelque 250 000 $ nécessaires à l'achat d'une Bentley Continental GTC. Et un bien petit investissement pour les quelques heures de plaisir pur passées à son volant.
 |
Accélération
Performance
Maniabilité
 |
Manque un peu d'espace de rangement dans l'habitacle
Ouverture et fermeture du toit un peu lent...
 |
Prix d'achat
photo:Ray Watson
Gallerie de l'article