Maintien d’une tradition
On n’a tout de même pas jeté l’eau du bain avec le bébé, en effectuant ce revirement. Certains attributs esthétiques traditionnels de la marque demeurent, comme ses courbes prononcées dans la ligne de caisse inspirées par la décapotable Skylark 1953, ou encore la grille en « cascade » de la calandre et les triples prises d’air décoratives, qui ont toutefois migré sur le capot.
Mais là s’arrêtent les emprunts à la tradition. L’acheteur d’une LaCrosse bénéficiera de raffinements comme ses puissants projecteurs au xénon, à décharge à haute intensité, mais aussi une plateforme offrant le plus grand niveau de rigidité parmi les intermédiaires de GM. Et que dire de l’insonorisation de l’habitacle? On se croirait dans une bibliothèque! À ce chapitre, Buick a rejoint Lexus!
En outre, le catalogue d’équipements (de série et optionnels) a de quoi faire pâlir d’envie le propriétaire d’une Allure et même d’une Camry. Car ni l’une, ni l’autre ne peut avoir un système d’affichage « tête haute », un volant chauffant, un toit ouvrant panoramique, un pare-soleil électrique pour la lunette, des sièges avant chauffants et ventilés, de même que des écrans de vidéo finement intégrés aux dossiers des sièges baquets.
Parlons-en de ces sièges baquets. Bien sûr, leurs coussins sont mous, mais juste assez. Ils ont aussi des bourrelets latéraux, qui procurent un support latéral très apprécié lorsqu’on conduit sur des routes sinueuses. On est loin des banquettes glissantes des Buick d’antan...
Du nouveau sous le capot
Au chapitre des groupes motopropulseurs, le sempiternel V6 de 3,8 litres a cédé sa place à deux V6 multisoupapes à injection directe de 3,0 et 3,6 litres. Le premier produit 255 chevaux (252 en version 4RM) et le second, 280. Cela représente des gains significatifs par rapport à l’ancien moteur, qui n’en produisait que 200. Qui plus est, le plus puissant des deux nouveaux V6 affiche les mêmes cotes de consommation de carburant!
Ces deux moteurs partagent une boîte de vitesses automatique à 6 rapports, qui assure des changements de rapports très doux, une qualité reconnue des Buick.
Cette boîte automatique dispose, en outre, d’un mode séquentiel, un attribut recherché des acheteurs visés. Il est toutefois dommage que l’aménagement de la console centrale ne favorise pas l’utilisation de ce mode semi manuel.
On n’a tout de même pas jeté l’eau du bain avec le bébé, en effectuant ce revirement. Certains attributs esthétiques traditionnels de la marque demeurent, comme ses courbes prononcées dans la ligne de caisse inspirées par la décapotable Skylark 1953, ou encore la grille en « cascade » de la calandre et les triples prises d’air décoratives, qui ont toutefois migré sur le capot.
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| La Buick LaCrosse peut être munie d’un système d’affichage « tête haute », qui projette la vitesse à laquelle on roule sur la face intérieure du pare-brise. |
Mais là s’arrêtent les emprunts à la tradition. L’acheteur d’une LaCrosse bénéficiera de raffinements comme ses puissants projecteurs au xénon, à décharge à haute intensité, mais aussi une plateforme offrant le plus grand niveau de rigidité parmi les intermédiaires de GM. Et que dire de l’insonorisation de l’habitacle? On se croirait dans une bibliothèque! À ce chapitre, Buick a rejoint Lexus!
En outre, le catalogue d’équipements (de série et optionnels) a de quoi faire pâlir d’envie le propriétaire d’une Allure et même d’une Camry. Car ni l’une, ni l’autre ne peut avoir un système d’affichage « tête haute », un volant chauffant, un toit ouvrant panoramique, un pare-soleil électrique pour la lunette, des sièges avant chauffants et ventilés, de même que des écrans de vidéo finement intégrés aux dossiers des sièges baquets.
Parlons-en de ces sièges baquets. Bien sûr, leurs coussins sont mous, mais juste assez. Ils ont aussi des bourrelets latéraux, qui procurent un support latéral très apprécié lorsqu’on conduit sur des routes sinueuses. On est loin des banquettes glissantes des Buick d’antan...
Du nouveau sous le capot
Au chapitre des groupes motopropulseurs, le sempiternel V6 de 3,8 litres a cédé sa place à deux V6 multisoupapes à injection directe de 3,0 et 3,6 litres. Le premier produit 255 chevaux (252 en version 4RM) et le second, 280. Cela représente des gains significatifs par rapport à l’ancien moteur, qui n’en produisait que 200. Qui plus est, le plus puissant des deux nouveaux V6 affiche les mêmes cotes de consommation de carburant!
Ces deux moteurs partagent une boîte de vitesses automatique à 6 rapports, qui assure des changements de rapports très doux, une qualité reconnue des Buick.
Cette boîte automatique dispose, en outre, d’un mode séquentiel, un attribut recherché des acheteurs visés. Il est toutefois dommage que l’aménagement de la console centrale ne favorise pas l’utilisation de ce mode semi manuel.
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| Deux puissants V6 animent cette voiture qui vise la clientèle de la Lexus ES 350. |