Avec un tel vitrage dans la voiture et le designer en chef assis à côté de moi, je devais conduire sagement. Même lorsque je décollais tout doucement des feux de circulation, j’ai trouvé que l’Aveo réussissait raisonnablement bien à démarrer rapidement, en douceur. Nos rues ont fait de leur mieux pour bardasser notre précieux butin, mais la suspension a absorbé les petites bosses et très bien amorti l’impact des grosses. Tout était intact à notre arrivée.
Vu que j’ai dû faire mon grand garçon tout ce temps, j’ai jugé que le moment était venu pour aller découvrir si l’Aveo pouvait satisfaire mes envies d’apprenti pilote de F1. Elle se montre certes un peu lente pour une voiture d’accélération genre drag, mais son moteur de 1,6 litre déploie tout de même 108 chevaux. Elle démontrait beaucoup plus d’aisance en attaquant les courbes et en freinant à la dernière minute. Le duo disque avant/tambour arrière se défend bien aux freinages appuyés répétés.
Tourner un coin dans l’Aveo provoque une inclinaison appréciable. La suspension molle (pour une voiture sport) laissait la voiture pencher considérablement. Je n’ai jamais eu l’impression qu’elle allait s’appuyer carrément sur la roue avant extérieure, mais elle frisait l’inconfortable dans les grands carrousels. J’ai également essayé l’autre extrême, les épingles, et je suis convaincu que le pneu arrière intérieur a quitté la chaussée.
Une fois mes acrobaties terminées, j’ai fait l’essai des différents sièges. Chevrolet inclut cinq ceintures de sécurité, mais à moins que les passagers arrière soient plus petits que la moyenne, considérez l’Aveo comme une voiture pour quatre. Et ce n’est pas tout : le siège central arrière offre un tel inconfort, que seuls les gens que vous n’appréciez guère devraient y prendre place.
L’espace arrière est un peu restreint pour les adultes, le dégagement pour les jambes posant le plus gros problème. Si les passagers avant avancent leur siège d’un cran ou deux, la banquette arrière devient plutôt confortable. Ironiquement, ceux à l’avant jouissent toujours d’un bon confort.
J’ai apprécié l’Aveo5 automatique, et maintenant j’ai hâte de voir si la manuelle à cinq rapports saura me faire sourire!
photo:Charles Renny
Vu que j’ai dû faire mon grand garçon tout ce temps, j’ai jugé que le moment était venu pour aller découvrir si l’Aveo pouvait satisfaire mes envies d’apprenti pilote de F1. Elle se montre certes un peu lente pour une voiture d’accélération genre drag, mais son moteur de 1,6 litre déploie tout de même 108 chevaux. Elle démontrait beaucoup plus d’aisance en attaquant les courbes et en freinant à la dernière minute. Le duo disque avant/tambour arrière se défend bien aux freinages appuyés répétés.
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| L’espace de chargement, lorsque la banquette arrière n’est pas rabattue, demeure un peu restreint. |
Tourner un coin dans l’Aveo provoque une inclinaison appréciable. La suspension molle (pour une voiture sport) laissait la voiture pencher considérablement. Je n’ai jamais eu l’impression qu’elle allait s’appuyer carrément sur la roue avant extérieure, mais elle frisait l’inconfortable dans les grands carrousels. J’ai également essayé l’autre extrême, les épingles, et je suis convaincu que le pneu arrière intérieur a quitté la chaussée.
Une fois mes acrobaties terminées, j’ai fait l’essai des différents sièges. Chevrolet inclut cinq ceintures de sécurité, mais à moins que les passagers arrière soient plus petits que la moyenne, considérez l’Aveo comme une voiture pour quatre. Et ce n’est pas tout : le siège central arrière offre un tel inconfort, que seuls les gens que vous n’appréciez guère devraient y prendre place.
L’espace arrière est un peu restreint pour les adultes, le dégagement pour les jambes posant le plus gros problème. Si les passagers avant avancent leur siège d’un cran ou deux, la banquette arrière devient plutôt confortable. Ironiquement, ceux à l’avant jouissent toujours d’un bon confort.
J’ai apprécié l’Aveo5 automatique, et maintenant j’ai hâte de voir si la manuelle à cinq rapports saura me faire sourire!
photo:Charles Renny
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