On s'attendrait normalement à ce que l'Equinox brille par son espace et sa capacité de chargement. Certes, il s'agit d'un véhicule fort spacieux offrant des sièges extrêmement confortables et une superbe visibilité, mais je n'ai pas été impressionnée par le volume utilitaire total (avec les dossiers arrière repliés) compte tenu de son gabarit.
Moi qui accoucherai bientôt d'un premier enfant (je vous aurai prévenus) et qui pourrais voir le Chevrolet Equinox comme un véhicule familial idéal, j'ai demandé à une amie d'apporter une poussette en vue de faire un petit test. Je cherchais à vérifier si un modèle ordinaire à une place se logerait facilement dans le coffre.
Or, ce n'est pas le cas. L'ouverture que découvre le hayon n'est pas suffisamment grande, peu importe l'angle avec lequel on essaie d'embarquer la poussette. J'ai dû rabattre l'un des dossiers arrière avant de pouvoir l'insérer. Quelle déception, d'autant plus que cette même poussette entre sans problème dans le coffre de la berline de mon amie.
Le hayon à commande assistée s'avère très utile – assez pour valoir le supplément de 520 $, à mon avis – mais il exerce une pression plutôt forte en se refermant et je me demande ce qui arriverait si une petite main se trouvait dans son chemin.
Hormis ces problématiques de chargement, j'ai trouvé le Chevrolet Equinox 2LT 2011 vraiment agréable à conduire. Je ne dis aucunement qu'il m'excite. D'ailleurs, sa boîte automatique à six rapports fait preuve d'une paresse évidente. Le constructeur a voulu les choses ainsi pour nous faire économiser à la pompe, allant jusqu'à promettre une consommation d'essence aussi faible que 6,1 L/100 km sur l'autoroute (rappelons que la Lexus CT 200h hybride affiche un rendement de 5,5 L/100 km).
Malheureusement, je n'ai pas réussi à obtenir pareil chiffre. En fait, ma moyenne pour la semaine s'est élevée à 11 L/100 km – quand même raisonnable pour un multisegment à quatre cylindres. Les 182 chevaux et 172 livres-pied de couple se font rarement sentir, mais il faut reconnaître que l'Equinox n'est pas censé jouer les bêtes de course.
Pour ce qui est du confort en ville, ce Chevrolet s'illustre joliment. Plus gros que la moyenne de ses rivaux, il n'en donne pas du tout l'impression sur la route. La caméra de recul jouit d'un bon emplacement et j'adore la vue dans le rétroviseur. Conduire sur des artères achalandées du centre-ville et même me stationner sur de petites rues adjacentes ne m'ont posé aucune difficulté.
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| Je cherchais à vérifier si un modèle ordinaire de poussette à une place se logerait facilement dans le coffre. Or, ce n'est pas le cas. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Moi qui accoucherai bientôt d'un premier enfant (je vous aurai prévenus) et qui pourrais voir le Chevrolet Equinox comme un véhicule familial idéal, j'ai demandé à une amie d'apporter une poussette en vue de faire un petit test. Je cherchais à vérifier si un modèle ordinaire à une place se logerait facilement dans le coffre.
Or, ce n'est pas le cas. L'ouverture que découvre le hayon n'est pas suffisamment grande, peu importe l'angle avec lequel on essaie d'embarquer la poussette. J'ai dû rabattre l'un des dossiers arrière avant de pouvoir l'insérer. Quelle déception, d'autant plus que cette même poussette entre sans problème dans le coffre de la berline de mon amie.
Le hayon à commande assistée s'avère très utile – assez pour valoir le supplément de 520 $, à mon avis – mais il exerce une pression plutôt forte en se refermant et je me demande ce qui arriverait si une petite main se trouvait dans son chemin.
Hormis ces problématiques de chargement, j'ai trouvé le Chevrolet Equinox 2LT 2011 vraiment agréable à conduire. Je ne dis aucunement qu'il m'excite. D'ailleurs, sa boîte automatique à six rapports fait preuve d'une paresse évidente. Le constructeur a voulu les choses ainsi pour nous faire économiser à la pompe, allant jusqu'à promettre une consommation d'essence aussi faible que 6,1 L/100 km sur l'autoroute (rappelons que la Lexus CT 200h hybride affiche un rendement de 5,5 L/100 km).
Malheureusement, je n'ai pas réussi à obtenir pareil chiffre. En fait, ma moyenne pour la semaine s'est élevée à 11 L/100 km – quand même raisonnable pour un multisegment à quatre cylindres. Les 182 chevaux et 172 livres-pied de couple se font rarement sentir, mais il faut reconnaître que l'Equinox n'est pas censé jouer les bêtes de course.
Pour ce qui est du confort en ville, ce Chevrolet s'illustre joliment. Plus gros que la moyenne de ses rivaux, il n'en donne pas du tout l'impression sur la route. La caméra de recul jouit d'un bon emplacement et j'adore la vue dans le rétroviseur. Conduire sur des artères achalandées du centre-ville et même me stationner sur de petites rues adjacentes ne m'ont posé aucune difficulté.
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| Les 182 chevaux et 172 livres-pied de couple se font rarement sentir, mais il faut reconnaître que l'Equinox n'est pas censé jouer les bêtes de course. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |