Ce qui gâche un peu la sauce, c'est la visibilité réduite vers l'arrière et la mauvaise impression de qualité que dégagent le tableau de bord et la console. On retrouve de nombreux panneaux en plastique dur qui passent leur temps à grincer, ruinant ainsi l'ambiance intérieure. Les accoudoirs sont un autre manque non négligeable.
Excellente maniabilité, confort raisonnable
La suspension surbaissée et les énormes roues de la HHR SS permettent d'atteindre une force de 0,86 G en virage, au dire de GM. Or, pour garantir une telle performance avec un véhicule aussi haut, des composantes de suspension ultra rigides sont requises, ce qui rend la conduite bruyante et même éprouvante sur certaines surfaces. Toutefois, lorsque la chaussée est de bonne qualité, le roulement s'avère raisonnablement confortable et silencieux.
Dans les courbes, la voiture avale la route comme une affamée. Ne vous fiez pas aux apparences; la HHR SS se montre très amusante à lancer à gauche et à droite. Le tout est accompagné de freins à la puissance impressionnante, bien que la sensation transmise par la pédale soit un peu déficiente.
Tout un moteur
Le moteur qui anime la Chevrolet HHR SS 2008 fait figure de légende sur les forums de discussion d'adeptes de «tuning». Ce quatre-cylindres de deux litres, jadis couplé à un compresseur volumétrique, est maintenant jumelé à un turbocompresseur avec refroidisseur afin de générer une puissance de 260 chevaux.
Les compétences de cette mécanique sont telles qu'il est difficile de ne pas déculotter le véhicule. En effet, on ressent à tout moment l'envie d'écraser l'accélérateur, ce qui résulte en des accélérations intenses et un son fantastique. Cette expérience est assombrie uniquement par le levier de vitesses rigide et sec.
La consommation d'essence est respectable en général. Ma conduite agressive s'est traduite par une moyenne d'à peine 10 litres aux 100 kilomètres. C'est à peu près semblable à ce que réalise la Volkswagen GTI, pourtant plus petite et moins puissante.
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| La suspension surbaissée et les énormes roues permettent d'atteindre une force de 0,86 G en virage. |
Excellente maniabilité, confort raisonnable
La suspension surbaissée et les énormes roues de la HHR SS permettent d'atteindre une force de 0,86 G en virage, au dire de GM. Or, pour garantir une telle performance avec un véhicule aussi haut, des composantes de suspension ultra rigides sont requises, ce qui rend la conduite bruyante et même éprouvante sur certaines surfaces. Toutefois, lorsque la chaussée est de bonne qualité, le roulement s'avère raisonnablement confortable et silencieux.
Dans les courbes, la voiture avale la route comme une affamée. Ne vous fiez pas aux apparences; la HHR SS se montre très amusante à lancer à gauche et à droite. Le tout est accompagné de freins à la puissance impressionnante, bien que la sensation transmise par la pédale soit un peu déficiente.
Tout un moteur
Le moteur qui anime la Chevrolet HHR SS 2008 fait figure de légende sur les forums de discussion d'adeptes de «tuning». Ce quatre-cylindres de deux litres, jadis couplé à un compresseur volumétrique, est maintenant jumelé à un turbocompresseur avec refroidisseur afin de générer une puissance de 260 chevaux.
Les compétences de cette mécanique sont telles qu'il est difficile de ne pas déculotter le véhicule. En effet, on ressent à tout moment l'envie d'écraser l'accélérateur, ce qui résulte en des accélérations intenses et un son fantastique. Cette expérience est assombrie uniquement par le levier de vitesses rigide et sec.
La consommation d'essence est respectable en général. Ma conduite agressive s'est traduite par une moyenne d'à peine 10 litres aux 100 kilomètres. C'est à peu près semblable à ce que réalise la Volkswagen GTI, pourtant plus petite et moins puissante.
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| Le moteur qui anime le véhicule fait figure de légende sur les forums de discussion d'adeptes de «tuning». |