Présence sur la route
Mon collègue Mathieu et moi avons vraiment apprécié la 300C à TI durant notre voyage au Test Days de l’IMPA. La voiture reste silencieuse à vitesse d’autoroute (excluant les fois où nous avons écrasé le champignon pour entendre la sonorité merveilleuse du HEMI), très stable et sa présence dans un rétroviseur incite fortement les lambineux à dégager la voie de gauche.
La 300C a même suscité une drôle de réaction du douanier à la frontière de NY : la première chose qu’il nous a dit après avoir observé la voiture de long en large, les sourcils froncés, a été : « À qui appartient cette voiture?! » Apparemment, dire bonjour avant de poser des questions est impertinent.
Après une session de questions-réponses de 5 minutes à propos de la Chrysler, le douanier nous laisse poursuivre notre chemin, sans même nous demander où on s’en va, combien de temps on restera et si on tente d’importer des armes ou de la boisson. On était convaincus qu’une patrouille de frontière nous attendait deux kilomètres plus loin avec des gants en caoutchouc. Heureusement, ce ne fut pas le cas.
Nette amélioration de l’habitacle
À l’intérieur, la 300C reçoit le lifting extrême dont ont bénéficié presque tous les produits Chrysler. Il n’y a pas une seule surface, à mon avis, qui ne soit pas mieux finie et de meilleure qualité par rapport à la génération 2005 à 2010.
Bon, il y a toujours une quantité de similibois peu convaincant, mais le dessus du tableau de bord obtient une surface peu reluisante dotée d’une bonne sensation au toucher. Les commandes de climatisation sont simples à utiliser et le système à écran tactile réagit illico au moindre frôlement du doigt. Le bloc d’affichage dispose d’un joli rétroéclairage bleuté et de garnitures chromées, alors que le volant n’a plus l’air d’avoir été dessiné en 1988.
Les portes avant s’ouvrent larges pour faciliter l’accès et les sorties, peut-être même un peu trop : ouvertes à plus ou moins 90 degrés, impossible de les atteindre lorsqu’on est assis. C’est légèrement agaçant et légèrement drôle à la fois.
Mon collègue Mathieu et moi avons vraiment apprécié la 300C à TI durant notre voyage au Test Days de l’IMPA. La voiture reste silencieuse à vitesse d’autoroute (excluant les fois où nous avons écrasé le champignon pour entendre la sonorité merveilleuse du HEMI), très stable et sa présence dans un rétroviseur incite fortement les lambineux à dégager la voie de gauche.
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| La 300C à TI accélère de 0 à 100 km/h en 6 secondes. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
La 300C a même suscité une drôle de réaction du douanier à la frontière de NY : la première chose qu’il nous a dit après avoir observé la voiture de long en large, les sourcils froncés, a été : « À qui appartient cette voiture?! » Apparemment, dire bonjour avant de poser des questions est impertinent.
Après une session de questions-réponses de 5 minutes à propos de la Chrysler, le douanier nous laisse poursuivre notre chemin, sans même nous demander où on s’en va, combien de temps on restera et si on tente d’importer des armes ou de la boisson. On était convaincus qu’une patrouille de frontière nous attendait deux kilomètres plus loin avec des gants en caoutchouc. Heureusement, ce ne fut pas le cas.
Nette amélioration de l’habitacle
À l’intérieur, la 300C reçoit le lifting extrême dont ont bénéficié presque tous les produits Chrysler. Il n’y a pas une seule surface, à mon avis, qui ne soit pas mieux finie et de meilleure qualité par rapport à la génération 2005 à 2010.
Bon, il y a toujours une quantité de similibois peu convaincant, mais le dessus du tableau de bord obtient une surface peu reluisante dotée d’une bonne sensation au toucher. Les commandes de climatisation sont simples à utiliser et le système à écran tactile réagit illico au moindre frôlement du doigt. Le bloc d’affichage dispose d’un joli rétroéclairage bleuté et de garnitures chromées, alors que le volant n’a plus l’air d’avoir été dessiné en 1988.
Les portes avant s’ouvrent larges pour faciliter l’accès et les sorties, peut-être même un peu trop : ouvertes à plus ou moins 90 degrés, impossible de les atteindre lorsqu’on est assis. C’est légèrement agaçant et légèrement drôle à la fois.
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| L’habitacle de la 300 profite d’une apparence grandement améliorée. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |