La boîte automatique est livrée en option alors que la manuelle fait partie de l'équipement de série. Au fait, pourquoi un sixième rapport ? On se le demande encore. On imagine que cet élément représente maintenant la norme, quoique inutile ou presque.
Avec ses 215 chevaux, la Crossfire se montre dynamique mais sans plus. Qu'importe, on n'achètera pas cette deux-places pour ses performances. Tout est axé sur le plaisir de conduite et la joie de se retrouver au volant d'une voiture qui fait tourner bien des têtes.
Les roues, de dimensions différentes, ajoutent au cachet particulier du modèle. Dix-huit pouces à l'avant, une pointure plus grande à l'arrière. Cette disposition particulière, plus esthétique qu'autre chose, permet, dit-on, une meilleure emprise du train arrière. Voilà un argument tout à fait défendable surtout pour une propulsion.
Du reste, elle est bien belle cette Crossfire et s'inscrit, oui au risque de se répéter, dans la lignée des modèles d'exception chez DaimlerChrysler. Elle occupera une place de choix dans votre entrée de garage, pas la place principale évidemment.
Pour une sortie au théâtre ou au restaurant, en amoureux, cet élégant coupé a tout pour vous placer en avant-scène...
Le cabriolet, c'est pour plus tard... peut-être
L'arrivée de la Crossfire devancera-t-elle une version cabriolet, à laquelle bon nombre de rumeurs font allusion. DaimlerChrysler se fait discret dans ses commentaires tout en indiquant que le feu vert n'a jamais été donné.
Considérant les quatre ans qui ont été nécessaires pour élaborer la PT Cruiser décapotable, il faudra compter la même période pour la variante de la Crossfire si, évidemment, on juge de la pertinence de l'exercice.
Avec ses 215 chevaux, la Crossfire se montre dynamique mais sans plus. Qu'importe, on n'achètera pas cette deux-places pour ses performances. Tout est axé sur le plaisir de conduite et la joie de se retrouver au volant d'une voiture qui fait tourner bien des têtes.
Les roues, de dimensions différentes, ajoutent au cachet particulier du modèle. Dix-huit pouces à l'avant, une pointure plus grande à l'arrière. Cette disposition particulière, plus esthétique qu'autre chose, permet, dit-on, une meilleure emprise du train arrière. Voilà un argument tout à fait défendable surtout pour une propulsion.
Du reste, elle est bien belle cette Crossfire et s'inscrit, oui au risque de se répéter, dans la lignée des modèles d'exception chez DaimlerChrysler. Elle occupera une place de choix dans votre entrée de garage, pas la place principale évidemment.
Pour une sortie au théâtre ou au restaurant, en amoureux, cet élégant coupé a tout pour vous placer en avant-scène...
Le cabriolet, c'est pour plus tard... peut-être
L'arrivée de la Crossfire devancera-t-elle une version cabriolet, à laquelle bon nombre de rumeurs font allusion. DaimlerChrysler se fait discret dans ses commentaires tout en indiquant que le feu vert n'a jamais été donné.
Considérant les quatre ans qui ont été nécessaires pour élaborer la PT Cruiser décapotable, il faudra compter la même période pour la variante de la Crossfire si, évidemment, on juge de la pertinence de l'exercice.