Mécanique
Ces dernières années, on s'est efforcé, chez Chrysler, de rehausser la qualité d'assemblage et la fiabilité d'un cran. Il faut dire que l'Intrepid en avait grand besoin, les modèles de première génération ayant laissé quelques souvenirs impérissables à leurs propriétaires... Parmi leurs doléances, celles qui revenaient le plus souvent touchaient la climatisation, la boîte de vitesses et le freinage.
Depuis, la situation semble s'être améliorée. Au chapitre du freinage, notamment, on constate la différence au premier contact avec la pédale: les freins réagissent immédiatement, avec une fermeté qu'on ne leur connaissait pas. Après toutes ces années, quelqu'un, quelque part, a fini par se réveiller chez Chrysler - ou est-ce chez Daimler? - pour enfin corriger le problème de la pédale spongieuse et des freins manquant de puissance. Il était temps!
On ne peut en dire autant de la boîte automatique... La boîte de vitesses Autostick, qu'on peut utiliser en mode manuel ou automatique, riest certes pas la meilleure du genre, avec ses passages saccadés, surtout lorsqu'on rétrograde. On s'y fait, certes, mais cela ne rend pas la chose plus agréable pour autant. Quant à la boîte traditionnelle, elle ne souffre pas des irritants de l'Autostick, mais ses passages sont lents et elle semble souvent chercher le bon rapport. À revoir.
Une motorisation plus puissante (250 chevaux) loge sous le capot de l'Intrepid SXT. Il s'agit du V6 3,5 litres de la 300M. Les autres versions (SE et ES) ne sont pas en reste, avec leurs V6 de 2,7 litres (200 chevaux) et 3,5 litres (234 chevaux). Couples, silencieux et performants, dotés d'une architecture moderne, ces trois moteurs se situent dans une classe à part, tant ils surclassent ceux de leurs rivales américaines.
Ces dernières années, on s'est efforcé, chez Chrysler, de rehausser la qualité d'assemblage et la fiabilité d'un cran. Il faut dire que l'Intrepid en avait grand besoin, les modèles de première génération ayant laissé quelques souvenirs impérissables à leurs propriétaires... Parmi leurs doléances, celles qui revenaient le plus souvent touchaient la climatisation, la boîte de vitesses et le freinage. Depuis, la situation semble s'être améliorée. Au chapitre du freinage, notamment, on constate la différence au premier contact avec la pédale: les freins réagissent immédiatement, avec une fermeté qu'on ne leur connaissait pas. Après toutes ces années, quelqu'un, quelque part, a fini par se réveiller chez Chrysler - ou est-ce chez Daimler? - pour enfin corriger le problème de la pédale spongieuse et des freins manquant de puissance. Il était temps!
On ne peut en dire autant de la boîte automatique... La boîte de vitesses Autostick, qu'on peut utiliser en mode manuel ou automatique, riest certes pas la meilleure du genre, avec ses passages saccadés, surtout lorsqu'on rétrograde. On s'y fait, certes, mais cela ne rend pas la chose plus agréable pour autant. Quant à la boîte traditionnelle, elle ne souffre pas des irritants de l'Autostick, mais ses passages sont lents et elle semble souvent chercher le bon rapport. À revoir.
Une motorisation plus puissante (250 chevaux) loge sous le capot de l'Intrepid SXT. Il s'agit du V6 3,5 litres de la 300M. Les autres versions (SE et ES) ne sont pas en reste, avec leurs V6 de 2,7 litres (200 chevaux) et 3,5 litres (234 chevaux). Couples, silencieux et performants, dotés d'une architecture moderne, ces trois moteurs se situent dans une classe à part, tant ils surclassent ceux de leurs rivales américaines.