Technique
La Neon était originalement disponible seulement en berline à quatre portes, disposant d'un moteur à quatre cylindres en ligne de 2,0 litres. Il développait 132 chevaux et 129 lb-pi de couple. Ensuite, 1996 arriva, et une version sportive à deux portes apparut en même temps, apportant avec elle une version à double arbre à cames en tête (DACT) du 2,0 litres. Résultat :150 chevaux et 131 lb-pi de couple. À partir de 1997, ce moteur était offert en option dans la berline. Les choix de boîte étaient une manuelle à 5 rapports ou une automatique à 3 rapports. Le freinage est accompli à l'aide de disques à l'avant et de tambours à l'arrière. Les modèles Sport et R/T (1998) incluaient des disques à l'arrière. La suspension était complètement indépendante.
Sur la route
Le 2,0 litres à simple arbre à cames en tête (SACT) démontrait de la nervosité. Il n'était pas particulièrement puissant, mais avait suffisamment de vigueur pour rendre la conduite amusante. Le son généré par ce moteur n'était pas très jouissif; c'était plutôt un son aigu grinçant. Plus on sollicitait ce moteur, plus la sonorité devenait désagréable. Du bruit de vent et de pneus participait également à ce concert de réverbérations produit par la Neon.
Lorsque je roulais en ville, j'ai rapidement constaté à quel point le levier de la boîte manuelle était facile à manier. J'ai appris plus tard par la propriétaire que la transmission au complet venait d'être remplacée. Ceci n'est pas un des problèmes communs de la Neon, mais le câble d'embrayage, lisse et linéaire dans cette voiture d'essai, avait une tendance à se ramollir.
La direction était bien dosée et agréablement précise. Sa sensation au centre était un peu vague, sans être dramatiquement agaçant. Les freins étaient passables, sans plus. La pédale est ferme et libre de sensation. Une instance de freinage d'urgence a prouvé être difficile pour le système. Les freins faisaient un peu de bruit, un problème très commun avec ces voitures. La conduite était plus sèche que ce dont je me souviens, peut-être même trop sèche. La suspension n'absorbait pas beaucoup, et la plupart des imperfections de la route pénétraient facilement dans l'habitacle. Le bruit de cognement venant de la suspension arrière (un autre problème commun) ne faisait rien pour améliorer la situation.
La Neon était originalement disponible seulement en berline à quatre portes, disposant d'un moteur à quatre cylindres en ligne de 2,0 litres. Il développait 132 chevaux et 129 lb-pi de couple. Ensuite, 1996 arriva, et une version sportive à deux portes apparut en même temps, apportant avec elle une version à double arbre à cames en tête (DACT) du 2,0 litres. Résultat :150 chevaux et 131 lb-pi de couple. À partir de 1997, ce moteur était offert en option dans la berline. Les choix de boîte étaient une manuelle à 5 rapports ou une automatique à 3 rapports. Le freinage est accompli à l'aide de disques à l'avant et de tambours à l'arrière. Les modèles Sport et R/T (1998) incluaient des disques à l'arrière. La suspension était complètement indépendante.
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Sur la route
Le 2,0 litres à simple arbre à cames en tête (SACT) démontrait de la nervosité. Il n'était pas particulièrement puissant, mais avait suffisamment de vigueur pour rendre la conduite amusante. Le son généré par ce moteur n'était pas très jouissif; c'était plutôt un son aigu grinçant. Plus on sollicitait ce moteur, plus la sonorité devenait désagréable. Du bruit de vent et de pneus participait également à ce concert de réverbérations produit par la Neon.
Lorsque je roulais en ville, j'ai rapidement constaté à quel point le levier de la boîte manuelle était facile à manier. J'ai appris plus tard par la propriétaire que la transmission au complet venait d'être remplacée. Ceci n'est pas un des problèmes communs de la Neon, mais le câble d'embrayage, lisse et linéaire dans cette voiture d'essai, avait une tendance à se ramollir.
La direction était bien dosée et agréablement précise. Sa sensation au centre était un peu vague, sans être dramatiquement agaçant. Les freins étaient passables, sans plus. La pédale est ferme et libre de sensation. Une instance de freinage d'urgence a prouvé être difficile pour le système. Les freins faisaient un peu de bruit, un problème très commun avec ces voitures. La conduite était plus sèche que ce dont je me souviens, peut-être même trop sèche. La suspension n'absorbait pas beaucoup, et la plupart des imperfections de la route pénétraient facilement dans l'habitacle. Le bruit de cognement venant de la suspension arrière (un autre problème commun) ne faisait rien pour améliorer la situation.
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