2) À l’intérieur, les sièges en cuir doux enveloppent le dos sans se faire prier. La position de conduite se révèle confortable, le pilote ayant devant lui un volant surdimensionné, des cadrans de style Indiglo et un tableau de bord large à n’en plus finir. On retrouve aussi amplement d’espace pour apprécier les longs voyages, des solutions de rangement adéquates de même qu’un système d’info-divertissement dernier cri comprenant un écran de navigation et une chaîne audio avec disque dur (en option). Dommage qu’il n’y ait pas de lecteur de cartouches 8 pistes…
3) La Challenger R/T renferme la nouvelle version du V8 HEMI de 5,7 litres de Chrysler, qui développe 375 chevaux via une boîte manuelle à six rapports. Certains moteurs d’outremer arrivent à libérer autant de puissance avec une cylindrée nettement inférieure, mais n’empêche que le gros HEMI produit un son envoûtant et des tonnes de couple à bas régime, sans parler des pneus de 20 pouces qu’il peut calciner sur demande.
4) La piètre visibilité complique toutefois les manœuvres de stationnement, surtout quand on recule pour sortir d’une cour de garage ou qu’on tente de changer de voie, par exemple.
5) Les places arrière offrent un accès étriqué. Une fois assis, par contre, la plupart des occupants émettent des commentaires positifs sur l’espace et le confort disponibles. Si jamais les plus grands se plaignent à voix haute, le bouton du volume de la radio se trouve juste à portée de main.
6) La Challenger est loin d’être super agile. Sa direction se montre légère et relativement molle, le roulis de caisse se fait sentir dans les virages et la suspension privilégie davantage la souplesse que le mordant. Cette Dodge ne peut suivre le rythme d’une Nissan 370Z sur une bretelle d’autoroute, mais quand vient le temps de se la couler douce sur la grande route, elle ne déçoit jamais.
7) Ladite boîte manuelle à six rapports offre une manipulation et une sensation des plus masculines, si vous voyez ce que je veux dire. Les trois premiers rapports, très rapprochés, permettent des décollages explosifs alors que l’aiguille du tachymètre flirte avez la zone rouge. Encore une fois, gare aux excès! Avec cette transmission, j’ai adoré m’imaginer en super héros qui file à toute allure pour aller éteindre un feu à l’usine de toutous. Seul problème (pour l’acheteur, du moins) : il s’agit d’une option de 2000 $ avec la R/T.
8) Le système d’entraînement et d’échappement de la Challenger communique beaucoup de sons et de sensations mécaniques au conducteur, une forme de testostérone automobile typiquement américaine qui rehausse vraiment l’expérience et la fierté au volant.
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| On retrouve à l'intérieur amplement d’espace pour apprécier les longs voyages. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
3) La Challenger R/T renferme la nouvelle version du V8 HEMI de 5,7 litres de Chrysler, qui développe 375 chevaux via une boîte manuelle à six rapports. Certains moteurs d’outremer arrivent à libérer autant de puissance avec une cylindrée nettement inférieure, mais n’empêche que le gros HEMI produit un son envoûtant et des tonnes de couple à bas régime, sans parler des pneus de 20 pouces qu’il peut calciner sur demande.
4) La piètre visibilité complique toutefois les manœuvres de stationnement, surtout quand on recule pour sortir d’une cour de garage ou qu’on tente de changer de voie, par exemple.
5) Les places arrière offrent un accès étriqué. Une fois assis, par contre, la plupart des occupants émettent des commentaires positifs sur l’espace et le confort disponibles. Si jamais les plus grands se plaignent à voix haute, le bouton du volume de la radio se trouve juste à portée de main.
6) La Challenger est loin d’être super agile. Sa direction se montre légère et relativement molle, le roulis de caisse se fait sentir dans les virages et la suspension privilégie davantage la souplesse que le mordant. Cette Dodge ne peut suivre le rythme d’une Nissan 370Z sur une bretelle d’autoroute, mais quand vient le temps de se la couler douce sur la grande route, elle ne déçoit jamais.
7) Ladite boîte manuelle à six rapports offre une manipulation et une sensation des plus masculines, si vous voyez ce que je veux dire. Les trois premiers rapports, très rapprochés, permettent des décollages explosifs alors que l’aiguille du tachymètre flirte avez la zone rouge. Encore une fois, gare aux excès! Avec cette transmission, j’ai adoré m’imaginer en super héros qui file à toute allure pour aller éteindre un feu à l’usine de toutous. Seul problème (pour l’acheteur, du moins) : il s’agit d’une option de 2000 $ avec la R/T.
8) Le système d’entraînement et d’échappement de la Challenger communique beaucoup de sons et de sensations mécaniques au conducteur, une forme de testostérone automobile typiquement américaine qui rehausse vraiment l’expérience et la fierté au volant.
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| Le gros HEMI produit un son envoûtant et des tonnes de couple à bas régime, sans parler des pneus de 20 pouces qu’il peut calciner sur demande. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |