Dans ce décor résolument moderne, les matériaux doux au toucher et les technologies dernier cri abondent. Le contraste entre le cuir beige et le noir de mon modèle d'essai m'a particulièrement séduit.
Au-delà de la forme, il y a la fonctionnalité. Ici, le tableau de bord se veut bien pensé, clair et convivial, notamment les cadrans et boutons. J'ai pu compter sur un grand écran tactile de 8,4 pouces pour afficher les cartes de navigation et l'image de la caméra de recul, sans parler des nombreux paramètres à régler.
Dans l'ensemble, je suis ressorti de la Charger R/T grandement impressionné. Dodge se hisse loin devant GM et sa Camaro en termes de raffinement intérieur.
Fonctionnement tout en douceur
Un habitacle d'une telle classe perdrait de l'intérêt s'il soumettait ses occupants à un environnement bruyant ou à un roulement saccadé. Or, la Dodge Charger 2011 se montre admirablement silencieuse et souple sur la route, sans pour autant compromettre sa stabilité lors des manœuvres agressives en virage.
Cette grande berline fait preuve d'une meilleure tenue de route que le laissent croire son gabarit et son confort de roulement. Non, il ne s'agit pas d'une petite voiture légère, mais la Charger ne donne en aucun temps l'impression de conduire un mastodonte; pour le pilote, c'est doublement plaisant.
Cela dit, le summum du plaisir se trouve sous le pied droit...
HEMI – que dire de plus?
Développant 370 chevaux à 5250 tours/minute et un couple de 395 livres-pied à 4200 tours/minute, le V8 HEMI de 5,7 litres de la version R/T lui injecte une sérieuse dose de stéroïdes. Dans mon cas, la puissance parvenait aux quatre roues grâce à un système de traction intégrale.
Ce dernier emploie un dispositif de désaccouplement de l'essieu avant qui favorise l'économie de carburant lorsque les conditions routières le permettent. Puis, quand une motricité aux quatre coins devient nécessaire, il livre la marchandise sans trop affecter le rendement énergétique de la voiture.
Au-delà de la forme, il y a la fonctionnalité. Ici, le tableau de bord se veut bien pensé, clair et convivial, notamment les cadrans et boutons. J'ai pu compter sur un grand écran tactile de 8,4 pouces pour afficher les cartes de navigation et l'image de la caméra de recul, sans parler des nombreux paramètres à régler.
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| Le tableau de bord se veut bien pensé, clair et convivial, notamment les cadrans et boutons. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Dans l'ensemble, je suis ressorti de la Charger R/T grandement impressionné. Dodge se hisse loin devant GM et sa Camaro en termes de raffinement intérieur.
Fonctionnement tout en douceur
Un habitacle d'une telle classe perdrait de l'intérêt s'il soumettait ses occupants à un environnement bruyant ou à un roulement saccadé. Or, la Dodge Charger 2011 se montre admirablement silencieuse et souple sur la route, sans pour autant compromettre sa stabilité lors des manœuvres agressives en virage.
Cette grande berline fait preuve d'une meilleure tenue de route que le laissent croire son gabarit et son confort de roulement. Non, il ne s'agit pas d'une petite voiture légère, mais la Charger ne donne en aucun temps l'impression de conduire un mastodonte; pour le pilote, c'est doublement plaisant.
Cela dit, le summum du plaisir se trouve sous le pied droit...
HEMI – que dire de plus?
Développant 370 chevaux à 5250 tours/minute et un couple de 395 livres-pied à 4200 tours/minute, le V8 HEMI de 5,7 litres de la version R/T lui injecte une sérieuse dose de stéroïdes. Dans mon cas, la puissance parvenait aux quatre roues grâce à un système de traction intégrale.
Ce dernier emploie un dispositif de désaccouplement de l'essieu avant qui favorise l'économie de carburant lorsque les conditions routières le permettent. Puis, quand une motricité aux quatre coins devient nécessaire, il livre la marchandise sans trop affecter le rendement énergétique de la voiture.
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| Développant 370 chevaux à 5250 tours/minute, le V8 HEMI de 5,7 litres de la version R/T lui injecte une sérieuse dose de stéroïdes. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |