Sans plus tarder, voici les résultats :
4e place – Toyota RAV4 LE (78,7 %)
Premièrement, il faut préciser que le RAV4 que nous avons testé coûtait environ 10 000 $ de moins que les trois autres (24 790 $), ne misait pas sur une transmission intégrale et n'offrait pas autant de commodités. Nous en avons tenu compte en l'évaluant. Par contre, notre essai nous a convaincus que même sa version Limited ne l'aurait pas élevé d'un rang.
Le nouveau design extérieur du Toyota RAV4 2013 mérite des applaudissements. Plus fluide et dynamique que son prédécesseur, il intègre également des phares et des feux plus modernes. Toyota cible clairement les jeunes consommateurs au style de vie actif. Le côté urbain du RAV4 nous a généralement plu.
À l’intérieur, le Toyota RAV4 2013 a fait l'unanimité... pour les mauvaises raisons. Tous se sont plaints du manque d'ergonomie (à l'instar de plusieurs modèles récents de Toyota), des reflets du soleil et du piètre positionnement des commandes. Seul point positif : l'accès et l'espace généreux. Les sièges avant procurent un confort adéquat, tandis que la banquette arrière spacieuse et le vaste coffre (1 090 litres, soit plus que les trois autres) impressionnent.
Après le tableau de bord, c'est la conduite du Toyota RAV4 2013 qui nous a déçus. Jumelé à une boîte automatique à 6 rapports plutôt paresseuse, le moteur à 4 cylindres de 2,5 L fait pâle figure. En soi, ça va, mais jamais quand on le compare au CX-5 ou au Tiguan. Dans un créneau comme celui des multisegments compacts, la conduite est pourtant assez importante; les acheteurs exigent non seulement un intérieur pratique, mais aussi un bon agrément au volant.
Le Toyota RAV4 2013 propose un mode « sport » que deux essayeurs ont utilisé simplement pour obtenir des sensations d'accélération normales. Sinon, les changements de rapport s'avèrent lents et laborieux. La pédale des gaz nous a aussi paru engourdie comparée à celle des autres.
De même, tout le monde a trouvé que les freins à disque aux quatre roues du RAV4 manquaient beaucoup de mordant. Encore là, c'est un constat qui s'applique à l'ensemble de la gamme de Toyota.
Par ailleurs, chacun des essayeurs a sursauté en voyant la consommation moyenne du Toyota RAV4 2013 à la fin de la journée. Malgré l'absence d'un rouage intégral, il n'a pu faire mieux que 9,1 L/100 km, ce qui le place troisième à ce chapitre.
Dans l'ensemble, le nouveau Toyota RAV4 2013 reste un beau et bon multisegment compact qui saura plaire aux petites familles d'aujourd'hui. C'est juste qu'il ne fait pas vraiment le poids contre ses adversaires – du moins, les trois de notre essai comparatif.
4e place – Toyota RAV4 LE (78,7 %)
Premièrement, il faut préciser que le RAV4 que nous avons testé coûtait environ 10 000 $ de moins que les trois autres (24 790 $), ne misait pas sur une transmission intégrale et n'offrait pas autant de commodités. Nous en avons tenu compte en l'évaluant. Par contre, notre essai nous a convaincus que même sa version Limited ne l'aurait pas élevé d'un rang.
Le nouveau design extérieur du Toyota RAV4 2013 mérite des applaudissements. Plus fluide et dynamique que son prédécesseur, il intègre également des phares et des feux plus modernes. Toyota cible clairement les jeunes consommateurs au style de vie actif. Le côté urbain du RAV4 nous a généralement plu.
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| Plus fluide et dynamique que son prédécesseur, il intègre également des phares et des feux plus modernes. (Photo: Olivier Delorme) |
À l’intérieur, le Toyota RAV4 2013 a fait l'unanimité... pour les mauvaises raisons. Tous se sont plaints du manque d'ergonomie (à l'instar de plusieurs modèles récents de Toyota), des reflets du soleil et du piètre positionnement des commandes. Seul point positif : l'accès et l'espace généreux. Les sièges avant procurent un confort adéquat, tandis que la banquette arrière spacieuse et le vaste coffre (1 090 litres, soit plus que les trois autres) impressionnent.
Après le tableau de bord, c'est la conduite du Toyota RAV4 2013 qui nous a déçus. Jumelé à une boîte automatique à 6 rapports plutôt paresseuse, le moteur à 4 cylindres de 2,5 L fait pâle figure. En soi, ça va, mais jamais quand on le compare au CX-5 ou au Tiguan. Dans un créneau comme celui des multisegments compacts, la conduite est pourtant assez importante; les acheteurs exigent non seulement un intérieur pratique, mais aussi un bon agrément au volant.
Le Toyota RAV4 2013 propose un mode « sport » que deux essayeurs ont utilisé simplement pour obtenir des sensations d'accélération normales. Sinon, les changements de rapport s'avèrent lents et laborieux. La pédale des gaz nous a aussi paru engourdie comparée à celle des autres.
De même, tout le monde a trouvé que les freins à disque aux quatre roues du RAV4 manquaient beaucoup de mordant. Encore là, c'est un constat qui s'applique à l'ensemble de la gamme de Toyota.
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| Tous se sont plaints du manque d'ergonomie, des reflets du soleil et du piètre positionnement des commandes. (Photo: Olivier Delorme) |
Par ailleurs, chacun des essayeurs a sursauté en voyant la consommation moyenne du Toyota RAV4 2013 à la fin de la journée. Malgré l'absence d'un rouage intégral, il n'a pu faire mieux que 9,1 L/100 km, ce qui le place troisième à ce chapitre.
Dans l'ensemble, le nouveau Toyota RAV4 2013 reste un beau et bon multisegment compact qui saura plaire aux petites familles d'aujourd'hui. C'est juste qu'il ne fait pas vraiment le poids contre ses adversaires – du moins, les trois de notre essai comparatif.