Le professeur Gérard Saillant, le traumatologue qui a soigné Michael Schumacher après qu’il se soit fracturé une jambe au Grand Prix de Grande-Bretagne en 1999, est arrivé au Japon pour assister l’équipe médicale qui soigne Jules Bianchi.
Pendant ce temps, Alex Würz, l’ancien pilote de Formule 1 et nouveau président du GPDA, l’association des pilotes de Grand Prix, a exhorté ses confrères à ne pas tirer des conclusions trop hâtives et à ne pas parler aux médias.
« Évidemment, un accident aussi terrible pose bien des questions et génère bien des opinions », de dire Würz au magazine Autosport.
« De par notre nature, nous, les pilotes, nous désirons obtenir des réponses, des conclusions et les solutions aussi rapidement que possible. Toutefois, il faut éviter de sauter aux conclusions sans avoir toutes les évidences et informations requises, et sans avoir entendu la version des deux parties », de poursuivre l’Autrichien, aujourd’hui pilote officiel pour Toyota en endurance et au Mans.
Il a ajouté avoir prévenu ses confrères de Formule 1 de ne pas discuter de l’accident en public alors qu’on en est encore à analyser ce qui s’est passé.
« Nous ne devons pas débattre de cet accident avant d’avoir toutes les informations en mains. Je recommande à tous les pilotes d’éviter d’en parler en public. Nous devons laisser le temps aux experts de tout analyser, et nous offrons évidemment notre aide aux autorités impliquées dans cette affaire », de poursuivre Würz.
« Mais tout d’abord, nous désirons offrir notre soutien à la famille et aux amis de Jules. Nous devons le faire aussi efficacement que possible ; ne pas enflammer les discussions en sautant à des conclusions trop hâtives », de terminer Würz.
Pendant ce temps, Alex Würz, l’ancien pilote de Formule 1 et nouveau président du GPDA, l’association des pilotes de Grand Prix, a exhorté ses confrères à ne pas tirer des conclusions trop hâtives et à ne pas parler aux médias.
« Évidemment, un accident aussi terrible pose bien des questions et génère bien des opinions », de dire Würz au magazine Autosport.
« De par notre nature, nous, les pilotes, nous désirons obtenir des réponses, des conclusions et les solutions aussi rapidement que possible. Toutefois, il faut éviter de sauter aux conclusions sans avoir toutes les évidences et informations requises, et sans avoir entendu la version des deux parties », de poursuivre l’Autrichien, aujourd’hui pilote officiel pour Toyota en endurance et au Mans.
Les médecins autour de Jules Bianchi, sitôt après l'accident. (Photo: WRi2) |
Il a ajouté avoir prévenu ses confrères de Formule 1 de ne pas discuter de l’accident en public alors qu’on en est encore à analyser ce qui s’est passé.
« Nous ne devons pas débattre de cet accident avant d’avoir toutes les informations en mains. Je recommande à tous les pilotes d’éviter d’en parler en public. Nous devons laisser le temps aux experts de tout analyser, et nous offrons évidemment notre aide aux autorités impliquées dans cette affaire », de poursuivre Würz.
« Mais tout d’abord, nous désirons offrir notre soutien à la famille et aux amis de Jules. Nous devons le faire aussi efficacement que possible ; ne pas enflammer les discussions en sautant à des conclusions trop hâtives », de terminer Würz.